La vie: c’est comme la boxe,
il faut essayer de rester debout,
encaisser les coups
et apprendre à vivre avec les cicatrices.
La vie: c’est comme la boxe,
il faut essayer de rester debout,
encaisser les coups
et apprendre à vivre avec les cicatrices.
Nous sous estimons souvent, le pouvoir d’un contact,
d’un sourire, d’un mot gentil, d’un compliment sincère, ou d’une moindre attention.
Ils ont tous le pouvoir de changer une vie..
(Léo Buscaglia)
DEMAIN?
Au moment où vous le touchez,
vous ne l’appelez plus demain,
mais aujourd’hui!
Cueillez une fleur de pissenlit, faites un voeu.
Sur cette boule vaporeuse, soufflez.
toutes les étoiles duveteuses envolées..
votre souhait sera exaucé!
Des chemins qui se croisent,
deux êtres qui s’apprivoisent,
un moment de volupté, de sensualité,
de doux baiser échangés.
……….
cette arôme que je croyais perdue,
sur tes lèvres je l’ai revu.
Je te mendie des caresses,
pour toutes les promesses de tendresse.
……….
Nos corps engourdis s’enflamment,
feu de passion et de raison,
qui s’élève jusqu’à mon âme.
……….
je serai ton soleil,
celui qui te fait voir toutes ces merveilles,
tu seras mon rayon de lune,
l’inspiration de ma plume.
……….
Je t’appellerai tous les jours,
juste pour entendre ta voix me dire bonjour.
Tu es cette douce lueur qui éclaire mon coeur. (du net)
Encore une heure noyée dans le brouillard,
j’ai si peur, mais c’est trop tard,
encore un cri que tu n’entends pas,
c’est moi qui reste,et toi qui t’en vas,
comme une lame qui transpercerait mon corps.
L’amour se fane et le silence est d’or, regarde mes larmes, elles ne sècheront jamais.
Le froid les glacera pour l’éternité.
Tous ces silence au parfum de nos regrets, tu es l’absence,
toi qui m’a délaissée, tu ne sais pas combien j’ai froid d’être là sans toi.
Cet impalpable vide qui soudain devient si solide,
cet isolement devient mon pire tourment, et les minutes passent ,
mon sourire s’efface, et si je suis faible,
et si je cède pour un instant ta place, c’est ce manque qui m’a fait faillir,
mais je t’aime, et j’ai si mal de te trahir,
mais n’ai-je-pas rêvé, d’avoir pu penser, qu’un jour tu la quitterais pour enfin m’aimer.(du net
les vieux c’est comme les enfants,
on s’inquiète de les voir traîner après la tombée de la nuit..
On redoute de les voir s’effondrer,
incapable de se souvenir de leur propre adresse.
(Tonino Benacquista)
Les enfants sont plus pénétrables qu’on ne le croit par les invisibles effets des idées.
Il se moquent jamais d’une personne vraiment imposante,
la véritable grâce les touche, la beauté les attire,
parce qu’ils sont beaux et qu’il existe des liens mystérieux entre les choses de même nature.
(honoré De Balzac)
C’est un abri merveilleux à l’abri des regards,
un coin ombragé par des arbres géants,
c’est un lieu merveilleux au bord d’une rivière
qui chante les années et court après le temps.
Dans ce lieu merveilleux, à l’abri des regards,
ombragés et bercés par le chant d’une rivière,
deux amants enlacés sont assis sur un banc,
tous deux se jetant des regards amoureux,
à jamais imprimés en photo noir et blanc.
nous nous retrouvions dans ce lieu merveilleux,
comme ces gens là lorsqu’ils avaient nos âges.
Nous étions enlacés, ombragés et bercés
par le vent dans les arbres et les chants d’une rivière,
qui détient à sa source nos larmes versées,
et ne berce à présent que nos amours passés. (Du net)
Sur cette plage abandonnée,
j’ai attendu l’été
pour venir doucement savourer
le bruit du ressac, dont j’aime me laisser bercer.
Dans cette eau qui a fraîchi,
j’avance doucement le corps raidi.
Je laisse les vagues lécher ma peau ,
puis me recouvrir le dos.
Maintenant que mon corps est immergé,
je me laisse couler.
Je n’entends plus que le sable qui roule,
balayé sur le fond, par la houle.
C’est un pur bonheur,
d’être dans cette semi apesanteur.
Je me sens légère comme les gouttes d’eau,
qui maintenant roulent sur ma peau. (du net)