————————————————————-les 4 saisons.poème boudhiste.
Au printemps cent fleurs;
A l’automne la lune;
En été le vent léger;
en hiver la neige.
Quand aucune préoccupation n’occupe le coeur,
toutes les saisons de ce monde sont bonnes.
Au printemps cent fleurs;
A l’automne la lune;
En été le vent léger;
en hiver la neige.
Quand aucune préoccupation n’occupe le coeur,
toutes les saisons de ce monde sont bonnes.
L’automne.
Voici l’automne,
et je m’étonne
que les arbres de mon jardin
pleurent feuilles soir et matin
qu’elles soient marron,
jaunes ou rouges.
Au moindre souffle d’air,
elles bougent,
et s’arrachent au premier vent,
qui les emporte méchamment.
Pas la peine d’être aussi ,belles
pour ne pas rester éternelles
. (Jean Glauzy)
Le printemps vient, paré de verdure
et couronné de fleurs,
pour le grand rite de l’amour.
Le coeur de l’homme est une maison
qui change de locataire à chaque saison:
l’amour l’occupe au printemps,
les désirs en été,
les plaisirs en automne
et les repentir en hiver.
Vive les quatre saisons:
l’hiver pour la neige et ses paysages;
le printemps pour les fleurs et la nature;
l’été pour le soleil ;
l’automne pour ses belles couleurs.
(Jacques caron)
La neige est un poème;
un poème qui tombe des nuages en flocons blancs et légers.
Ce poème vient de la bouche du ciel, de la main de Dieu,
il porte un nom, un nom d’une blancheur éclatante:
NEIGE.
(Maxence Fermine)
Quelle terre laisserons-nous à nos enfants?
Bonne question monsieur, mais il en est une autre: aussi importante,
Quels enfants laisserons-nous à la terre…
(Jean-Marie Pelt)
_L’hiver nous désespère
_le printemps nous attend
_L’été nous est dédié
_L’automne nous rend monotone_
Mais tout ceci n’est pas un souci ,
car la terre nous montre de nouvelles couleurs
au son de son coeur et au fil des saisons..
La grande plaine est blanche, immobile, et sans voix.
Pas un bruit, pas un son, toute vie est éteinte.
Mais, on entend parfois, une morne plainte,
quelques chiens sans abri qui hurle au coin d’un bois.
…
Une chanson dans l’air sous nos pieds plus de chaume.
L’hiver s’est abattu sur toute floraison,
des arbres dépouillés, dressent à l’horizon
leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.
…
La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu’elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
et, voyant tout désert, s’empresse à nous quitter.
…
et, froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde,
fantastiques lueurs qu’elle s’en va semant,
et, la neige s’éclaire au loin sinistrement,
aux étranges reflets de la clarté blafarde.
…
Oh!la terrible nuit pour les petits oiseaux!
un vent glacé frissonne et court dans les allées,
eux, n’ayant plus d’asile ombragé des berceaux,
ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.
…
dans les grands arbres nus que couvre le verglas,
ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège;
de leur oeil inquiet ,ils regardent la neige,
attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas. (du net)
PENSEES D’AUTOMNE.
L’automne continue de passer avec nos souliers
humides et venteux, défilé de feuilles
valse à travers la brume, les pointe d’or
vont et viennent, en notes sur coeur s’échouer.
L’automne exprime profonde passion, un écueil
n’est qu’un voyage vers l’immobilité du for,
un silence pour prémisse, une graine de rêveur,
tel une étoile, le vent en est l’initiateur.
L’automne est plus qu’un avant dernier acte,
il est le soubresaut des pensées, chant des grands
drus agités depuis les racines, l’oiseau chanteur
des douceurs enflammées, messager du divin pacte.
L’automne trace son lit, libère tous les élans,
forge ses diamants de terre, il est un peintre
qui use toutes les couleurs de toutes ses palettes,
sans penser au résultat, l’abstrait, le bariolé en fête.
L’automne continue sa marche, sur un cintre,
des pensées en sont encore au jovial printemps,
d’autres se font déjà glaciales, ah! ce temps..
ineffable, bond fait remous, fait son courant.. (du net)
Salut, bois couronnés d’un reste de verdure,
feuillages jaunissants sur les gazons épars.
Salut, derniers beaux jours, le deuil de la nature
convient à la douleur et plaît à nos regards.
Je suis d’un pas rêveur le sentier solitaire.
J’aime à revoir encore pour la dernière fois,
ce soleil pâlissant, dont la faible lumière
perce à peine à mes pieds l’obscurité des bois.
Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire,
à ses regards voilés, je trouve plus d’attraits.
C’est l’adieu d’un ami, c’est le dernier sourire
des lèvres que la mort va fermer pour jamais!
ainsi prêt à quitter l’horizon de la vie,
pleurant de mes longs jours l’espoir évanoui,
je contemple ces biens dont je n’ai pas joui.
Peut-être l’avenir me gardait-il encore,
un retour de bonheur dont l’espoir est perdu?
Peut-être dans la foule, une âme que j’ignore
aurait compris mon âme et m’aurait répondu?
La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphyr.
A la vie, au soleil, se sont-là mes adieux.
Moi, je meurs et mon âme au moment qu’elle expire,
s’exhale comme un son triste et mélodieux.
L’été se retire lentement..
et l’automne arrive immanquablement.
C’est une des saisons de l’année
que l’on aime bien retrouver.
Les feuilles commencent à tomber,
c’est quelque chose à admirer,
car toute cette belle nature,
c’est comme voie un chef d’oeuvre en peinture.
Les journée comment à raccourcir
et l’on commence à moins sortir.
On apprécie le confort de notre appartement,
quand dehors il fait froid évidemment.
mais en attendant, on va faire le tour des magasins
s’acheter des vêtements chauds,
pour le froid qui s’en vient.
L’automne est une saison qui sait
très bien nous plaire,
même si on sait qu’après…c’est l’hiver! (du net)
Feuilleter les saisons et découvrir la saveur de leurs fruits.
NUIT DE NEIGE,
La grande plaine est blanche et sans voix.
Pas un bruit, pas un son, toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une mome plainte,
quelques chiens sans abri qui hurlent au coin d’un bois.
Plus de chansons dans l’air, sous nos pieds plus de chaumes.
L’hiver s’est abattu sur toute floraison,
des arbres dépouillées dressent à l’horizon
leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.
La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu’elle a froid dans le grand ciel austère.
De son mome regard, elle parcourt la terre,
et, voyant tout désert, s’empresse à nous quitter.
Et froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde,
Fantastique lueurs qu’elle s’en va semant,
et le neige s’éclaire au loin sinistrement
aux étranges reflets de la clarté blafarde.
Oh! la terrible nuit pour les petits oiseaux!
un vent glacé frissonne et court par les allées,
eux n’ayant plus l’asile ombragé des berceaux,
ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.
Dans les grands arbres nus qui couvre le verglas,
ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège,
de leur oeil inquiet ils regardent la neige,
attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas.
(guy de Maupassant)
Vous juger selon vos échecs, serait reprocher aux saisons leur inconstance.
Voici venu un nouveau jour,
un petit jour nouveau né,
qui me rappelle toujours
comment filent les années.
……….
Une horloge fixée au mur,
me berce de son murmure,
et affiche à l’heure du cadran
le décompte de mes ans.
……….
Je vois passer les saisons,
qui m’abritent avec raison
au creux de leurs maisons
où s’oublient les lunaisons.
……….
A l’hiver, son tranquille repos,
sa pâle lumière blanche,
au printemps en revanche
qui fleurit soudain du berceau.
……….
A l’été ses nombreux fruits
croqués comme des oublis,
et à l’automne son regard
annonçant le venue du départ.
……….
Voici venu un nouveau jour,
un petit jour nouveau né,
qui me rappelle toujours
comment filent les années.
(caroline François: ma petite vie en poésie centerblog)
Bonjour terre.
aujourd’hui c’est le printemps
tu t’habilles de ta robe de lumière
pour accueillir cet instant.
Ce moment de magie
où les hirondelles déploient leurs ailes,
volent dans de sublimes énergies
comme pour toucher le ciel.
les oiseaux sur les arbres verdoyants ,
lissant leur plumage,
chantent un hymne au printemps
en sifflant de doux présages.
Les fleurs ouvrent leur coeur,
étirent leurs magnifiques pétales
offrant leur différent camaïeu avec pudeur ,
pour s’offrir au soleil un rituel nuptial.
les animaux s’éveillent à la vie,
sortent de leur terrier
vont à la découverte des prairies
et leurs rejetons apprennent à être aventuriers.
Et nous enfants de la terre,
nous nous ressourçons à tant de beauté,
contemplons le réveil de notre mère,
accordons nous un moment de sérénité.
Ô terre- Mère,
toi qui crée, qui fleurit, qui grandit.
Ô terre-Mère notre source nourricière,
merci pour tous ces printemps infinis. (pris sur le net)
François Giroud a écrit;
« Je ne sais ce qu’est l’ordre des choses, à part le rythme des saisons
et cette façon qu’a la terre de tourner sur ses gonds »