ferme les yeux et sens..
Respire l’odeur du printemps!
Ecoute le chant des oiseaux..
N’y a t’il rien de plus beau?
Tu touches le vrai bonheur
dans un moment de douceur
ainsi les jours de pluie,
ne regarde plus le ciel gris,
mais pense à cet instant magique,
où tout semble féerique. (du net)
Lorsque tu fais le vide autour de toi,
tu n’entends plus que ta voix.
Tu te demande même si c’est vraiment toi.
Tu deviens limite fou et en même temps,
tu sais au plus profond de toi,
que tu dois en passer par là.
T’aimerais juste pouvoir raconter tes angoisses.
Tes nuits où le sommeil oublie de faire sa tournée
alors qu’il t’avait promis qu’il allait passer.
Tes journées où tu retiens tes larmes de venir zébrer tes joues..
mais non. c’est le vide.
Le grand vide autour de toi.
et pour ne pas tomber, tu comprends
que tu n’as que toi..toi seul..(du net)
LE TEMPS DES VACANCES.
c’est le temps béni des vacances.
Le vent fait des noeuds d’hirondelles.
Le jour est rond comme une amande.
Tout le village sent le miel.
Le soleil a pendu sa lampe,
juste au- dessus des vaches blanches,
étonnées de n’avoir plus d’ombre;
mais las prairies qui,près du bois
tremblent doucement sous leur poids,
n’ont jamais été si profondes.
(maurice Carêm
« si vous voulez voir la nature belle
et vierge comme une fiancée,
allez là un jour de printemps..
si vous voulez calmer les plaies
saignantes de votre coeur,
revenez-y par les derniers jours de l’automne..
au printemps, l’amour y bat des ailes à plein ciel,
en automne on y songe à ceux qui ne sont plus. »
Si son mariage avait été sans joie,
son veuvaga fut grand et glorieux.
Elle trouva une grande photographie de son mari
qui datait de l’époque où ils avaient fait connaissance,
elle la mit dans un cadre doré
et l’accrocha au mur.
(Milan kundera)
Elle l’attendait, comme on attend le printemps en plein hiver.
Elle savait qu’il reviendrait toujours,
même s’il fallait s’armer de patience.
Elle était prête à guetter son arrivée;
à ne fermer qu’un oeil par pure nécessité,
pour ne rien louper,
rien de ce qui l’entourait n’avait d’importance.
C’était comme si son image s’était étalée dans son cerveau
et qu’il n’y avait plus de place pour autre chose.
Elle se sentait vide d’elle-même et pleine de lui.
Pleine de son absence qui le rendait
encore plus présent dans son esprit. (du net)
« Je te regardais parce que je ne savais pas quoi dire,
par quoi commencer; par quoi terminer.
J’espérais que tu lises dans mon regard,
que tu y lises toute mon admiration,
tout mon amour pour toi.
J’espérais que mes yeux parlent pour moi, à ma place;
qu’ils soient autant bavard que j’étais bouche bée.
Mais je pense aujourd’hui que tu ne savais pas lire,
que tu faisais partie de ces gens qui ne voient que le visible, le concret;
parce qu’on ne t’a pas appris à voir plus loin.
et aujourd’hui…. je dors avec mes regrets. (pris sur le net)
JE SUIS LA LIBERTE.
peu importe que mon nom ne soit pas connu.
peu importe que mon nom ne soit pas entendu,
je suis le vent qui souffle par tous les temps,
je suis l’air qui frémit quand vient le printemps,
je suis l’eau qui jaillit quand la terre se dessèche,
je suis l’arbre qui grandit quand la forêt s’embrume,
je suis le lutin des saisons chaudes et sèches,
je suis le bateau perdu au fond des brumes,
je suis l’enfant aux yeux remplis d’espoir,
je suis le moissonneur heureux de son labeur,
je suis l’étranger à qui l’on dit bonjour,
je suis le retraité au sein de sa famille,
je suis la femme satisfaite de l’être,
je suis le travailleur qui rélève la tête.
….
peu importe que mon nom ne pas soit connu,
peu importe que mon nom ne soit pas entendu,
je suis moi,
je suis vous,
je suis la liberté,
je n’habite nulle part,
et je m’en vais partout,
la terre est ma patrie,
le ciel est mon espace;
la lune veille mes nuits,
le soleil éclaire mes jours.
Je suis la liberté,
rêves et réalités au fond de votre coeur. (du net)
C’est ma vie…et je suis maintenant libre
d’être la femme que j’aurais toujours dû être.
elle a commencé à voir sa vraie beauté
à travers ses propres yeux;
elle n’était pas parfaite,
et elle n’avait pas à l’être.
Elle aimait la femme qu’elle devenait,
elle ne s’est jamais retournée
et a continué à avancer,
avec une telle détermination que rien ne pouvait l’arrêter.
Elle s’est parée d’amour, de pardon
et elle a trouvé son courage.
Elle se sentait enfin chez elle
dans son coeur et dans son âme.(du net)
Cette bougie qui brûle est éternelle,
regarde et respire
cette flamme qui s’envole ici et ailleurs,
qui dégèle les coeurs infidèles
pour insuffler le vent dans le néant.
Le tourbillon des couleurs et des formes,
dévoile l’horizon.
La lumière l’embrasse,
la caresse de sa chaleur.
Telle une plume qui se pose
et qui exprime, l’esprit de foi et d’espérance.
Cette bougie qui brûle est éternelle
regarde et respire ,
pour que tu puisses entendre
le battement du coeur du néant
illuminé par l’intelligence accueillante et solitaire.
(damkadmi RJdouan)
Elle a des murs solides qui se couvrent de lierres,
des piliers de ciment pour l’ancrer à la terre,
des piles de lourds objets qui ploient les étagères.
Quand elle paraît vide elle n’est jamais déserte
demeurent les plantes vertes
tous les témoins latents de la vie passagère
de tous ses habitants.
Les signes imperceptibles de la fuite du temps,
comme la poussière qui recouvre les meubles;
les rideaux qui s’écartent au moindre souffle d’air;
des insectes coureurs, des insectes volants.
(Alain)
Elle l’attendait comme on attend le printemps en hiver.
Elle savait qu’il reviendrait toujours,
même s’il fallait s’armer de patience.
Elle était prête à guetter son arrivée,
à ne fermer qu’un oeil par pure nécessité, pour ne rien louper.
Rien de ce qui l’entourait n’avait plus d’importance.
C’était comme si son image, s’était étalée dans son cerveau
et qu’il n’y avait plus de place pour autre chose.
Elle se sentait vide d’elle-même et plein de lui.
Pleine de son absence qui le rendait
encore plus présent dans son esprit. (du net)
Tristesse de la lune.
ce soir, la lune rêve avec plus de paresse,
ainsi qu’une beauté sur de nombreux coussins,
qui , d’une main discrète et légère caresse
avant de s’endormir le contour de ses seins.
….
sur le dos satiné des molles avalanches
mourantes, elle se livre aux longues pâmoisons,
et promène ses yeux sur les visions blanches
qui montrent dans l’azur comme des floraisons.
….
quand sur ce globe, en sa langueur oisive,
elle laisse filer une larme furtive,
un poète pieux, ennemi du sommeil.
….
dans le creux de sa main prend cette larme pâle,
aux reflets irisés comme un fragment d’opale,
et la met dans son coeur loin des yeux du soleil.
(Beaudelaire.)
la lune
Désirer sans espoir,
regarder sans rien voir,
se nourrir de ses larmes,
s’en reprocher les charmes,
s’écrier à vingt ans:
que j’ai souffert longtemps!
perdre jusqu’à l’envie
de poursuivre la vie
on me l’a dit un jour
c’est le vrai mal d’amour……
Dans ses songes secrets,
revoir les mêmes traits,
craindre la ressemblance
qu’on appelle en silence,
en frémissant d’amer,
apprendre à l’exprimer,
pleurer qu’un si doux songe
soit toujours un mensonge:
on me l’a dit un jour,
c’est le vrai mal d’amour…….
S’arracher aux accents
que l’on écoute absents,
mais un fuyant l’orage ,
détester son courage ,
trembler de se guérir,
le promettre.. et mourir.
Voilà ce qu’on ignore,
quand on espère encore:
on me l’a dit un jour,
c’est le vrai mal d’amour. (du net)
Un mot de trop.
un mot de trop
parfois c’est bien
parfois c’est beau
parfois ça ne sert à rien.
Un mot de trop
peut rendre heureux
ou faire ruisseler des sanglots
alors on est malheureux….
un mot de trop parfois ça fait plaisir
tel un cadeau qu’on se plaît à offrir….
Un mot de trop peut briser une amitié
la langue telle une faux coupe un lien sans pitié….
Un mot de trop nui à celui qui le dit
son erreur le rattrape au galop
et il devient un roseau qui se plie….
Un mot de trop sait détruire toute une vie
en une seconde et met à zéro
et il sombre plus dans l’oubli….
Ne disons jamais un mot de trop
ne parlons pas sans réfléchir
car par un seul mot de trop
notre ciel peut s’assombrir…(auteur inconnu)
Il y a des personnes qui te lisent comme un livre ouvert,
qui te ferment comme un livre lu,
qui t’écrivent comme un livre blanc,
qui perdent le signet, qui voulaient te lire,
mais les émotions n’étaient pas en solde,
qui t’ont déballé et placé sur une étagère,
qui t’ont amené à la maison et mis dans la bibliothèque…
peut-être qu’un jour quelqu’un te lira sérieusement,
de la couverture à la dernière page
et te gardera avec lui,
comme le cadeau le plus précieux.
(Francesco P. Ettari)
L’amour est si beau, un énorme cadeau ;
l’amour le vrai, celui qu’une fois on connait.
On peut aimer de milles façons ,
une seule nous fait perdre la raison.
C’est l’amour le vrai qui dure toute une vie
en effet, Cet amour peut-être un coup de foudre,
un feu d’artifice; fait d’un regard ,
et on sait qu’elle est notre dulcinée;
elle nous rend fou d’amour cela chaque jour,
nous on donne notre coeur,
qu’elle seule remplit de bonheur
(du net)
ma chère épouse.
je t’écris cette lettre pour te dire que je te quitte pour toujours.
J’ai été un homme bon pour toi pendant 7 ans.
Ces deux dernières semaine ont été l’enfer.
Ton patron a appelé pour me dire que tu quittais ton emploi aujourd’hui.
La semaine dernière, tu rentrais et, tu n’as même pas remarqué
que j’avais une nouvelle coupe de cheveux.
J’avais fait cuire ton repas préféré
et portais même une nouvelle paire de boxers en soie.
Tu as mangé en 2 minutes, et alla droit au sommeil
après avoir regardé tes feuilletons.
Tu ne me dis plus je t’aime,
tu ne veux plus de sexe ou tout ce qui nous relie en tant que mari et femme.
Quoiqu’il en soit, je m’en vais pour toujours.
PS: n’essaie pas de me retrouver..
ta soeur et moi nous nous éloignons de la virginie occidentale ensemble!!
Aies une vie formidable!
le chemin du bonheur n’est pas droit.
Il existe des virages nommés erreurs;
des feux de signalisation nommés amis;
des lumières de précaution nommées famille.
Tout se paye comme un péage,
mais tout peut’être accompli
si tu as un pneu de rechange nommé décision;
un puissant moteur nommé amour,
et beaucoup de carburant nommé patience,
mais il te faut surtout un conducteur expert
nommé courage. (du net)
coeur de rose.
même si l’on croyait qu’elle n’en avait pas
il arrive un matin que soudain il se voit
le coeur de la rose .
il faut l’apprivoiser comme dit le Petit Prince
l’aimer et l’admirer, la prendre avec des pinces
la rose.
Ainsi elle grandit en beauté et en grâce
et bientôt tragédie le sécateur menace
la rose.
La recevoir c’est vrai procure bien di plaisir
elle est fière comme chatte qui commence à courir
la rose.
Prenez soin de la belle si vous l’aimez vraiment
la gâter, l’aduler elle durera longtemps
la rose.
Après quelques journées d’agréables senteurs
vous verrez ses pétales de drôles de couleurs
la rose.
Et c’est seulement là que vous verrez enfin
au milieu des pétales arrivées à leur fin
le coeur de la rose.
(Théa D’Albertville 12 juin 2003)
Des mots d’amour habille-moi
velours drapé sur ma peau nue
que les secrets glissent leur soie
qu’en longs frissons ils s’insinuent.
…..
Des mots d’amour pour les nuits pâles
des petits noms qui font sourire
mon chat ,mon coeur ou mon étoile
de mousseline à mes soupirs.
…..
Des mots d’amour brodant ma vie
d’une dentelle de tendresse
ta voix me fera plus jolie
tes mots d’amour nouant mes tresses.
…..
Des mots d’amour aux draps froissés
quand la rosée embue la fleur?
aux creux des rêves ils vont tisser
un nid moelleux au lit du coeur.
…..
habille-moi de mots d’amour.. (du net)
Tu te rendras compte que je te manque ,
le jour où je ne serai plus là.
Un jour tu me chercheras parmi tous ceux que tu rencontreras,
mais tu ne me trouveras pas.
Je ne sais quand ce jour arrivera, mais ce jour là,
je tiendrai la main de quelqu’un, et que je ne te remarquerai même pas,
quand nous nous croiserons,
jusqu’au moment où tu diras mon nom.
Je me souviendrai de toi et de tout ce que nous étions,
mais surtout de ce que nous n’étions pas;
parce que tu ne m’as jamais donné d’importance.
Tu m’as donné des bribes d’une histoire d’amour sans coeur
qui m’a laissé dans la confusion.
Une histoire d’amour où j’aimais quelqu’un
qui ne m’aimait pas en retour.
Mais un jour, mon nom apparaîtra
et tu réaliseras à quel point je te manque..
Les petites conversations où nous avions l’habitude de parler de toi te manqueront.
Ainsi que les messages que tu avais l’habitude d’ignorer.
Tu réecouteras ces messages vocaux juste pour entendre le son de ma voix
Tu te retrouveras à regarder mes photos en en me rappelant
que tu étais un personnage principal dans ma vie
ou du moins je voulais que tu le sois……………..
(Kirsten-Crtey)
J’ai besoin des étoiles, j’ai besoin de toi,
comme le peintre de sa toile,
j’ai besoin de toi
comme la terre a besoin d’eau,
j’ai besoin de toi
comme les fleurs ont besoin du soleil,
j’ai besoin de toi
comme l’ombre du jour,
j’ai besoin de toi
tout simplement car je t’aime énormément. (du net)
Tu t’n vas
et dans mon coeur ce n’est rien
que quelques semaines à t’attendre.
Tu t’en vas
mes joies mes rêves sont pour toi
impossible de t’y méprendre.
tu t’en vas
et notre amour nous appartient
nul ne saurait nous le reprendre.
tu t’en vas
l’éloignement aide parfois
à mieux s’aimer mieux se comprendre.
tu t’en vas
comme le soleil qui disparaît
comme un été comme un dimanche.
j’ai peur de l’hiver et du froid
j’ai peur du vide de l’absence.
tu t’en vas
et les oiseaux ne chantent
plus le monde n’est qu’indifférence
j’ai peur de toi j’ai peur de moi
j’ai peur que vienne le silence.
Tu t’en vas
et dans mon coeur ce n’est rien
qu’un départ sans importance.
tu t’en vas
c’est mon coeur tu le sais
bien rien qu’un caprice de l’existence.
tu t’en vas
le temps l’espace ne sont rien
si tu me gardes ta confiance.
tu t’en vas
chaque matin qui vient tu sais
pourtant qu’enfin tout recommence.
tu t’en vas
je reste là seulle et perdue
comme aux pires heures de l’enfance.
tu t’en vas
j’ai peur de toi j’ai peur de moi
j’ai peur que vienne le silence…(
Alain barrière.
« une émotion, un sourire, une expression,
un regard, un sentiment,
une blessure, un silence, une absence ,
tout parle à ce qui sait entendre.
Entendre sans juger,
ou plutôt qu’il n’y a rien à juger,
juger c’est humain,
juger c’est aussi aimer,
suspendre son jugement c’est mieux aimer…
et aimer malgré les jugements,
c’est aimer vraiment. » (du net)