————————————————————————belles illustrations en partage.
Il y a un but mais pas de chemin,
ce que nous nommons chemin,
est hésitation.
(Franz kafka)
combien de fois abandonnons-nous notre chemin,
attirés par l’éclat du chemin trompeur d’à côté?
(Paulo Coelho)
C’est dans le calme et la douceur
qu’on se retrouve face à soi-même.
N’essayez pas de ressembler à personne..
Soyez juste le reflet de vous-même..
Paulo Coelho a écrit:
Nous maîtrisons déjà l’énergie du vent,
des marées, du soleil.
Mais le jour où l’homme saura dominer l’énergie de l’amour,
cela sera aussi important que l’a été la découverte du feu.
Fais de ton coeur un espace aussi beau que la nature.
LA CAMPAGNE.
Il y a un endroit où tout est calme
un endroit qui s’appelle la campagne
tant de fleurs qui naissent, qui vivent et qui fanent
les animaux qui ont l’air de s’amuser toute la journée
ce grand espace où l’on peut jouer
l’herbe est si vert et si long
qu’on pourrait si perdre sans y faire attention
ces arbres qui ont l’air si heureux
ce soleil qui brille de mille feux
ces nuages qui se sont enfuit
parce qu’il n’y a plus de pluie
pas de chasseurs comme dans les forêts
ni d’animaux sauvages qui viennent s’y réfugier
le beau temps on l’aime tous
pas comme l’hiver où l’on tousse
ceci est la campagne
où il fait si calme
pas de bruit aucun souci. (du net)
Un paysage ne ment pas, mais le regard le déguise,
ce qui le rend toujours différent,
comme s’il devenait un reflet de notre état d’âme.
(Victor Del Arbel)
Humain..!
il faut savoir se taire
pour écouter le chant de l’espace,
pour affirmer que la lumière et l’ombre ne se parlent pas..
Et surtout, ayez les yeux ouverts sur le monde entier,
car les plus grands secrets
se trouvent toujours aux endroits les plus inatendus.
Ceux qui ne croient pas en la magie ne les connaîtont jamais.
NUIT DE NEIGE,
La grande plaine est blanche et sans voix.
Pas un bruit, pas un son, toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une mome plainte,
quelques chiens sans abri qui hurlent au coin d’un bois.
Plus de chansons dans l’air, sous nos pieds plus de chaumes.
L’hiver s’est abattu sur toute floraison,
des arbres dépouillées dressent à l’horizon
leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.
La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu’elle a froid dans le grand ciel austère.
De son mome regard, elle parcourt la terre,
et, voyant tout désert, s’empresse à nous quitter.
Et froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde,
Fantastique lueurs qu’elle s’en va semant,
et le neige s’éclaire au loin sinistrement
aux étranges reflets de la clarté blafarde.
Oh! la terrible nuit pour les petits oiseaux!
un vent glacé frissonne et court par les allées,
eux n’ayant plus l’asile ombragé des berceaux,
ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.
Dans les grands arbres nus qui couvre le verglas,
ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège,
de leur oeil inquiet ils regardent la neige,
attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas.
(guy de Maupassant)
Il n’est pas nécessaire de courir le monde,
de traverser les océans et jungle
pour sentir le charme des nuées, la sève des arbres,
le langage des ribières et des nuits.
(Joseph Kessel)
_J’aurai voulu être une bonne nouvelle.
_J’aurai voulu être une acalmie, un grand repos.
_J’aurai voulu être une seconde, celle où l’on sent le bonheur,
la joie dans l’harmonie, et puis mourir.
_J’aurai voulu être le coeur de deux personnes qui s’aiment.
_J’aurai voulu être contre-ut, le chef d(oeuvre, l’idée géniale, et renaître ailleurs.
(Véronique Olmi..le premier amour)
Tu dis souvent: _ »J’aimerai donner; mais seulement à qui le mérite. »
Ce n’est pas le langage que tiennent les arbres de ton verger ni les troupeaux de tes près.
Ils donnent pour vivre, car retenir, c’est périr.
(Khalil Gibran)
Il est des moments, où il faut choisir entre vivre sa propre vie pleinement,
entièrement, complètement, ou traîner l’existence dégradante,
creuse et fausse que le monde, dans son hypocrisie nous impose.
(oscar wilde)
Le vent emporta les feuilles jaunies tombées sur les trottoirs,
et à la douceur du soleil d’automne, succéda la rigueur de l’hiver/
(Guillaume Musso)
L’amour est un fleuve,où les eaux des rivières se mèlent sans se confondre.
(Jacques Bourbon Busser)
Le vrai bonheur ne dépend pas des choses que vous possédez,
mais des pensées que vous avez:
ce sont les penées positives.
Tout refaire et créer;
découvrir des gouffres;
rêver sans illusion et sans se taire;
au loin à l’horizon écrire ,
vivre et aimer
dans le désir infini du visage du temps..
(Claude Beausoleil)
Il faut faire de notre coeur un espace..
aussi beau que la nature, aussi vaste qu’un paysage,
aussi profond qu’un océan.
Il faut faire de notre coeur un espace libre…