——————————————————-toujours superbes les jardins japonais.
Aimer; c’est savoir entrer dans le jardin de l’autre
pour enlever les ronces
et y faire pousser des fleursAimer
Aimer; c’est savoir entrer dans le jardin de l’autre
pour enlever les ronces
et y faire pousser des fleursAimer
Le sentiers de ton coeur.
je retrouverai ce sentier
où toi et moi, on se tenait la main
cette route de laquelle je me suis éloignée
je la chercherai nuits et jours et matins et soirs.
….
je retrouverai le chemin de notre amour
où sous le clair de lune on s’est croisé
je chercherai cet endroit où un jour
tout doucement tu as su m’apprivoiser.
….
Je chercherai ton regard
cette lueur qui brille dans tes yeux
je fouillerai maisons et hangars
pour qu’on soit de nouveau tous les deux.
….
Je puiserai dans nos souvenirs
un indice, une information
je retrouverai ce désir
qui enflammait notre passion.
….
Je retrouverai les sentiers de ton coeur
où on s’est connus, où on s’est aimés
peu importe le jour et l’heure
je chercherai tant que je n’aurai pas trouver. (du net)
Mon chemin vers toi.
quand mon être s’exprime dans l’amour
je découvre la merveille de chaque instant
ensoleillant chacun de tes jours
je vis la magnificence du présent.
..
Je suis avec ce curieux destin
qui m’a de nouveau tendu la main
te mettant sur mon chemin
en m’apprenant un autre aspect de l’Un.
…
Je te sais parfois douce et caressante
tu définis ton extase par le cri d’amour
et mon coeur t’appelle comme amante
pour t’aimer jusqu’au petit jour.
…
Fontaine, je bois encore de ton eau
et je vois que je ne suis pas seul
mes jamais, mas toujours, s’oublient dans ton eau
effaçant mes promesses de linceul.
…
Quand mon âme me montre le chemin ,
le chant du destin me fait connaître son refrain
mon oeil voit, l’amour danse dans ma vie
et mon oreille entend la mélodie.
et t’aider à ne dépendre que de toi,
à marcher sur ton sentier, parfois
et respecter aussi ta douleur
et pouvoir parler à ton coeur..
C’est mon chemin ves toi.. (du net)
Marcel Aymé:
La forêt, c’est encore un peu du paradis perdu.
Dieu n’a pas voulu que le premier jardin
fût effacé par le premier péché.
Pour retrouver la sérénité,
va t-en puiser dans la nature
les énergies de la forêt
et les bienfaits de sa verdure.
Sous les caresses du soleil
tu pourras réchauffer ton corps
en regardant le bleu du ciel
illuminé de rayons d’or.
et, si tu veux te rafraîchir
bois l’onde pure du ruisseau
sens couler en toi le plaisir
de la douce fraîcheur de l’eau.
Aimes notre mère la terre
elle est notre seule survie
comme la douce primevère
reste avec elle en harmonie.
Car notre planète est si belle
et quelque soit la saison
elle nous garde sous son aile
elle est notre seule maison.
C’est grâce à elle que l’on peut vivre
elle qui donne sans compter
elle nous permet d’être libre
et ne nous décevras jamais. ( sur le net)
Il n’y a rien qui excite plus la curiosité qu’un mystère,
que quelque chose que vous ne pouvez pas comprendre!
tout devient sombre
puis vient la pénombre .
Le soleil prépare sa tombe
pour qu’enfin « la nuit tombe »
sur une partie du monde
que la terre soit moins immonde..
Peu à peu la lumière du jour s’efface
et la lune vient prendre place
chaque fois en un endroit différent
suivi de près par des regards innocents.
Alors vite, on éteint la lampe
on attend l’arrivée du sommeil, parfois si lente
pour ressentir pleinement cette nuit qui nous hante;
elle est quoi cette fois, effrayante et gênante?
ou bien rassurante et tranquillisante?
Tu fais alors ce doux rêve
celui qui t’apporte une trêve
ou alors ce cauchemar, ou ce songe incohérent
mais tu t’en moques, la plupart du temps tu l’oublies en te réveillant.
A l’heure où j’écris ce poème,
si loin de mes je t’aime
et si loin de mes problèmes ;
a l’heure où j’écris ce poème,
la lune est presque pleine,
je voulais juste vous parler de ce phénomène
et vous dire à quel point j’aime ces nuits calmes et sereines. (inconnu)
La grande plaine est blanche, immobile, et sans voix.
Pas un bruit, pas un son, toute vie est éteinte.
Mais, on entend parfois, une morne plainte,
quelques chiens sans abri qui hurle au coin d’un bois.
…
Une chanson dans l’air sous nos pieds plus de chaume.
L’hiver s’est abattu sur toute floraison,
des arbres dépouillés, dressent à l’horizon
leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.
…
La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu’elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
et, voyant tout désert, s’empresse à nous quitter.
…
et, froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde,
fantastiques lueurs qu’elle s’en va semant,
et, la neige s’éclaire au loin sinistrement,
aux étranges reflets de la clarté blafarde.
…
Oh!la terrible nuit pour les petits oiseaux!
un vent glacé frissonne et court dans les allées,
eux, n’ayant plus d’asile ombragé des berceaux,
ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.
…
dans les grands arbres nus que couvre le verglas,
ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège;
de leur oeil inquiet ,ils regardent la neige,
attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas. (du net)
tu ne sais pas à quel point tu peux être forte,
jusqu’au jour où être forte reste ta dernière option..
concentre toi sur le chemin que tu as à parcourir;
ne regrette pas ce que tu as vécu.
Toutes les expérience et les cicatrices ont fait de toi la personne sue tu es..
Sur le chemin de la vérité, laissez-vous guider,
la vie vous mènera où vous devez aller,
par les sentiers que vous devez emprunter,
avec les personnes que vous devez rencontrer.
ne forcez aucune porte fermée,
mais dirigez-vous vers celle qui vous est destinée.
parfois,
je n’ai aucune idée de l’endroit où ma vie me mène,
mais je laisse faire.
Probablement qu’elle connaît mieux la route que moi..
L’automne est un deuxième printemps
où chaque feuille est une fleur.
(Albert Camus)
Salut, bois couronnés d’un reste de verdure,
feuillages jaunissants sur les gazons épars.
Salut, derniers beaux jours, le deuil de la nature
convient à la douleur et plaît à nos regards.
Je suis d’un pas rêveur le sentier solitaire.
J’aime à revoir encore pour la dernière fois,
ce soleil pâlissant, dont la faible lumière
perce à peine à mes pieds l’obscurité des bois.
Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire,
à ses regards voilés, je trouve plus d’attraits.
C’est l’adieu d’un ami, c’est le dernier sourire
des lèvres que la mort va fermer pour jamais!
ainsi prêt à quitter l’horizon de la vie,
pleurant de mes longs jours l’espoir évanoui,
je contemple ces biens dont je n’ai pas joui.
Peut-être l’avenir me gardait-il encore,
un retour de bonheur dont l’espoir est perdu?
Peut-être dans la foule, une âme que j’ignore
aurait compris mon âme et m’aurait répondu?
La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphyr.
A la vie, au soleil, se sont-là mes adieux.
Moi, je meurs et mon âme au moment qu’elle expire,
s’exhale comme un son triste et mélodieux.
« Une prise de conscience,
est comme le soleil, lorsqu’il brille sur les choses,
elles sont transformées.
(thich Nhat Hanh)
Si quelqu’un juge ton chemin, prête-lui tes chaussures…!
« n’oublie pas ce qu’on dit au sujet des ponts:
Le plus dur, c’est de savoir quand les franchir et quand les couper.. »
On ne peut vaincre la nature,
qu’en lui obéissant..
(Francis Bacon)
Ne regarde pas derrière toi en te demandant pourquoi!
Regarde en avant et dis-toi: pourquoi pas!
tu dis souvent:
« j’aimerai donner, mais seulement à qui le mérite »
Ce n’est pas le langage que tiennent les arbres de ton verger,
ni les troupeaux de tes près..
Ils donnent pour vivre, car retenir c’est périr.
(Khalil Gibran)
on mûrit, et la pluie reste accrochée aux branches des arbres,
qui seront un jour les maîtres du monde.
Et, heureusement qu’il y a la pluie, elle purifie le temps
quand vous avez l’air d’un arc en ciel sinistre,
elle débarrasse les rues des armées du silence
pour nous laisser danser.
(basketball diaries)
Soyez amoureux..
crevez-vous à écrire..
contemplez le monde..
Ecoutez de la musique
et regardez la peinture.
Ne perdez pas votre temps..
Lisez sans cesse..
ne cherchez pas à vous éxpliquer..
Ecoutez votre bon plaisir….
Taisez vous..
(Ernest hemingway)
parfois, il ne faut pas que tourner la page,
pour oublier,
parce qu’en fin de compte
il reste toujours le livre…
Parfois, il ne suffit pas juste de passer
les mauvaises pages,
car même si on ne veux pas les voir,
elles sont toujours là..! (du net)
« nuages: les descentes de lit de la lune. » (Jules Renard.)
Les plus grands secrets se trouvent toujours aux endroits les plus inattendus..
Le sauvage n’est pas celui qui vit dans la forêt; mais celui qui la détruit!
Si vous avez de la peine,
si la vie est méchante avec vous,
réfugiez vous au coeur de la forêt,
elle ne vous décevra jamais.
Chaque plante, chaque fleur, chaque arbre, chaque animal
sont la preuve de la toute puissance de Dieu
et la forêt vous redonnera courage.