__________________________________superbe image.
Victor Hugo a écrit:
« la femme nue, c’est le ciel bleu. nuages et vêtements font obstacle à la contemplation.
La beauté et l’infini veulent être sans voiles regardés.
Victor Hugo a écrit:
« la femme nue, c’est le ciel bleu. nuages et vêtements font obstacle à la contemplation.
La beauté et l’infini veulent être sans voiles regardés.
La beauté du corps ne fait pas la beauté du coeur…méfiez vous des apparences!
La beauté féminine est un mystère qui tourmente la pensée et les sens. (Erri de Luca)
définition mathématique d’une femme: ensemble de courbes qui font redresser une ligne. (inconnu)
Un peu de douceur, un peu de tendresse, rien de plus pour habiller un corps en détresse,.
Un coeur sans chaleur, des caresses de tes mains, des baisers de ta bouche, illuminé il sera …
Ce coeur éperdument amoureux, qui comme cette rose attend pour éclore.
(pris sur le net)
Anna de Noailles: »Le corps; unique lieu de rêve et de raison, asile de désir, de l’image et des sons. »
Il y a des miroirs pour le visage, mais il n’y en a point pour l’esprit. Il faut donc suppléer par une sérieuse réflexion sur soi-même…(Batasar Gracian)
Les hommes ont inventé le feu, mais les femmes ont découvert qu’on pouvait jouer avec…
Fais du bien à ton corps pour que ton âme ait envie d’y rester.( prov.indien)
Comme l’alouette la coquette se prend au miroir.(Charles Dollfus)
Baltasar Gracian y Morales a écrit:
« Il n’y a des miroirs pour le visage, il n’y en a pas pour l’esprit. »
qu’est-ce donc la vie humaine sinon un collier de blessures que l’on passe autour du cou?
(Philippe Claudel)
Un beau corps de femme est la meilleure lampe de chevet.Dormir à deux rend la nuit moins opaque.
(Macolm de Chazal)
Prends soin de ton corps comme un jardin;
de ton coeur comme une fleur;
abreuve toi de l’amitié;
réchauffe-toi avec les rayons de l’amour,
ainsi ta vie sera une récolte de bonheur.
Ne cherche pas le bonheur dans le bleu du ciel; pour le trouver apprends plutôt à aprécier la beauté des nuages.
La suggestion consiste à faire dans l’esprit des autres, une petit incision, où l’on met une idée à soi. (Victor Hugo)