On aime le rêve, on aime la féerie, on n’aime pas la vie..
tant pis, la vie en revanche, nous vole ce qu’on aime.
(Jovette Bernier)
On n’entre pas en féerie en sautant la clôture.
On n’y accède que par aventure, épreuve,
enchantement, enfaytement, par amour.
(Pierre Dubois)
Fée fée fée
ouvrez-moi les portes de la gaité
fée fée fée
fanez sur moi des pétales dorés
fée fée fée
ensoleillez mes pensées
tourbillonnez
papillonnez
chantonnez
sous une pluie d’argent
les couleurs du bonheur
atteindrons mon coeur!
bien loin de manifester des exigences, le conte de fées, rassure,
donne de l’espoir pour l’avenir
et contient la promesse d’une conclusion heureuse.
(Bruno bettelheim)
« La première chose qui montre que nous sommes en train de tuer nos rêves
est le manque de temps.
Si le chagrin comme le feu produisait de la fumée,
l’univers en serait à jamais obscurci!
Le plus haut degré de la sagesse humaine,
est de savoir plier son caractère aux ircontances
et se faire un intérieur en dépit des orages extérieurs.
(Daniel defoe)
Les contes de fées ne révèlent pas aux enfants que les dragons existent.
Les enfants le savent déjà.
Les contes de fées révèlent aux enfants qu’on peut tuer les dragons.
(Gilbert Keith Chesterton)
Les fées demeurent par-delà les cieux,
car les cieux sont le parvis de leur temple,
et les étoiles sont les marques de leurs pas.
(Balzac)
Ma fée d’ivoire.
L’aube sur la forêt enchantée, s’est posée!
Les fleurs déploient leurs pétales perlées,
de la rosée céleste,larmes des fées d’ivoire.
Larmes perdues des songes, larmes sacrées d’espoir.
Les fées d’ivoire s’envolent vers les tristesse
de leurs ailes diaphanes, elles consolznt avec des caresses.
Ce sont des êtres mystérieux voilés de poudre de lune,
afin de se cacher des médisances et des rancunes .
qui n’aime pas la beauté féerique, ne connaît pa le bonheur,
les fées d’ivoire savent cicatriser et délivrer les coeurs.
Elles sont les lumières chaleureuses des vies brumeuses,
sans leur amour cristallin, nos âmes deviendraient malheureuses. (du net)
Les fées demeurent par au-delà les cieux,
car les cieux sont le parvis de leur temple,
et les étoiles sont les marques de leurs pas.
(Balzac)
d’abord la valse, où deux êtres qui ne sont point époux,
et qui même ne s’aiment point secrètement, joignent leurs corps.
Respirant leurs tiédeurs intimes et leurs souffles inconnus,
ils s’engagent dans un tourbillon
qui les laisse de temps en temps reparaître aux yeux de leurs proches parents.
Paul Hervieux)
L’imagination nous mène souvent vers des mondes qui n’ont jamais éxistés;
mais sans elle, nous n’irions nulle part.
Une phrase de Flaubert sur les féeries qui faisaient fureur de son temps:
<<avec le cochon de lait, la féerie est ce que je connais de plus lourd>>
(citation de Julien Green.journal vers l’invisible.)
