———————————————————————————————–plaisirs d’enfants.
les enfants n’ont ni passé, ni avenir,
et, ce qui nous arrive guère,
ils jouissent du présent.
les enfants n’ont ni passé, ni avenir,
et, ce qui nous arrive guère,
ils jouissent du présent.
AUX ANGELOTS.(
(poème de Delco Roinos)
Le paradis n’est point au ciel,
mais dans les yeux
des enfants heureux,
vous êtes de mes jours l’arc en ciel.
….
Il n’est pire torture que le son des larmes,
mis à part le bruit des armes.
Laissez les mômes vivre leur aventure!
leur cris de joies assourdir la planète,
supprimons la haine et les pleurs,
rires d’enfants prenez de l’ampleur,
moi au clairon je préfère la clarinette.
….
Chers gamins gardez à jamais l’âme infantile,
et quand vous serez adultes à votre tour pardonnez,
bêtises et autre broutilles de l’amour donnez!
N’oubliez jamais que le coeur d’un bambin est fertile.
….
Alors! semons ensemble pour demain le bonheur,
emplissons ces chérubins de tendresse,
transformons nos craintes et nos peurs en caresses,
remettons le droit des enfants à l’honneur!
La vie c’est comme les maths
tu additionnes les baisers
tu soustrait les vêtements
tu divises les jambes,
et…tu te multiplie..
le spectacle d’un couple insolent qui se connait à vingt ans;
s’aime, se l’avoue, se le répète et meurt heureux,
remplit d’aigreur la plupart des gens.
(michel deon) «
Si loin de toi.
Quand je suis loin de toi
ces chers vieux souvenirs me font la loi.
je subis tous leurs caprices encombrants
bien plus exigeants que toi pourtant.
Si loin de toi..
Quand je suis loin de toi,
j’oublie combien tu m’irrite parfois,
tes mots et même tes gestes méchants
ne me font que sourire et me paraissent touchants.
Tu es partout c’est fou tu m’emprisonnes,
ton noms dans ma tête sans fin résonne.
tout près de toi..
enfin être près de toi,
mon coeur se meurt à ne penser qu’à toi
jusqu’au jour où je pourrai te revoir,
lorsque je ne serai plus loin, mais tout près de toi.
(Pierre Barouh)
Le style est non seulement pur et correct,
mais plein de douceur et d’élégance..
Pardonne-moi
si j’ai cru t’oublier mon amour
pardonne-moi.
si je t’ai fait souffrir de longs jours..
Après tant de bonheur
je ne fus qu’un ingrat aveuglé de jalousie,
j’ai voulu renier nos plus tendres baisers
dans un geste de folie.
pardonne-moi.
Pour l’amour qui combla nos deux coeurs,
viens dans mes bras,
j’ai gardé les baisers les meilleurs .
Oublions le chagrin,
ne pensons qu’à demain,
le bonheur nous l’ordonne,
je t’en supplie, pardonne-moi
pour notre bel amour.
L’oisiveté exige tout autant de vertus que le travail.
Il faut la culture de l’esprit,
de l’âme des yeux, le goût de la méditation
et du rêve, la sérénité.
(Paul Morand)
L’amour c’est comme un jour,
ça s’en va l’amour
c’est comme un jour de soleil en ripaille
et de lune en chamaille
et de pluie en bataille
l’amour c’est comme un jour
ça s’en va, ça s’en va l’amour…………………
(.Aznazvour.)
La peur d’avoir peur est la pire des peurs,
et elle est encore plus néfaste que la peur elle-même…
(Jacques Caron)
Il n’est pas question de ne plus jamais avoir peur,
mais d’accepter mes peurs
et de m’en servir pour avancer..
(Kristen Stewart)
VIVRE;
c’est se réveiller dans l’impatience du jour à venir.
C’est s’émerveiller que ce qui est miracle
se reproduise pour nous une fois encore.
C’est avoir des insomnies de joies.
(Paul Emile Victor.)
La vie n’est pas facile,elle est même très dure,
mais quoiqu’il arrive,ne te laisse pas tomber dans le doute,
dans la peur, dans l’ombre;
il y a toujours un rayon de soleil qui te fera retrouver
l’espoir , le bonheur et la joie.
Qui es-tu toi qui m’aimes?
le miroir où je me regarde,
ou l’abîme où je me perds?
si la vie est un tourment,
où chaque être a sa propre souffrance,
il y a toujours au tournant le soleil
qui flambe toutes ses espérances.
Pourquoi la rose se vêtit-elle de tant de magie?
admirez la donc, cette belle ainsi vêtue!
qui sous le feu flambe sa couleur
comme la joie, et, l’espoir qui surgit
comme une qualité à laquelle on s’attache,qui vous réjouit.
Alors votre joie n’est pas prés de se tarir
alors votre coeur est loin de désirer à pourrir
car c’est toujours au plus haut au plus loin,
que le mirage se crée et que notre chère réalité revient