——————————————————————————————————————chuchoter des mots doux.
les mots les plus importants
qu’on puisse lui chuchoter à l’oreille
sont de tendres baisers à ses lèvres.
(Jeff Paillat)
les mots les plus importants
qu’on puisse lui chuchoter à l’oreille
sont de tendres baisers à ses lèvres.
(Jeff Paillat)
plante un à un les barreaux de ta vie..
monte.
au dessus de tes peurs..
monte.
au delà de tes joies..
monte.
au delà de tes rêves,
ne te retourne pas..
monte.
pour toucher la lumière de l’oiseau
que tu poursuis depuis tes premiers pas..
monte.
pour que ce jour là,
tu retombes tout en bas
de l’échelle de ta vie. (du net)
dans un couple,le problème est que la femme croit qu’il va changer,
mais il ne changera pas.
Et l’homme fait des erreurs,
en croyant qu’elle ne partira jamais,mais elle partira…
La pauvre fleur disait au papillon céleste:
« ne fuis pas!
vois comme nos destins sont différents, je reste.
tu t’en vas!
Pourtant nous nous aimons, nous vivons sans le hommes
et loin d’eux,
et nous nous ressemblons, et l’on dit que nous sommes
fleurs tous deux!
mais hélas ! l’air t’emporte et la terre m’enchaîne,
sort cruel!
je voudrais embaumer ton vol de mon haleine
dans le ciel!
mais non, tu vas trop loin! parmi des fleurs sans nombre
vous fuyez!
et moi je reste seule à voir tourner mon ombre
à mes pieds.
Tu fuis, puis tu reviens, puis tu t’en vas encore
luire ailleurs
aussi me trouves-tu toujours à chaque aurore
toute en pleurs!
oh! pour que notre amour coule des jours fidèles,
Ô mon roi,
prends comme moi racine, ou donne-moi des ailes
comme toi!.
(Victor Hugo)
Et je reste des heures à regarder la mer,
le coeur abasourdi et les pensées de travers,
et je ne comprend rien à ce triste univers,
tout est couleur de pluie, tout est couleur d’hiver.
Je suis ce fier bateau qu’on vit un jour parti
et qui n’en finit plus de ne plus revenir.
La mer a ses amants qui s’enivre du vent,
la mer a ses amants qui se grisent à ses fêtes.
Qui ne comprend pas ne comprend pas la mer,
je n’aurai donc été en ce grand univers,
qu’un de ces marins-là qui vont en solitaire,
et inutile cri d’une inutile fête.
Marcel Proust disait:
Albertine employait toujours le ton dubitatif pour les résolutions irrévocables.
L’automne.
Voici l’automne,
et je m’étonne
que les arbres de mon jardin
pleurent feuilles soir et matin
qu’elles soient marron,
jaunes ou rouges.
Au moindre souffle d’air,
elles bougent,
et s’arrachent au premier vent,
qui les emporte méchamment.
Pas la peine d’être aussi ,belles
pour ne pas rester éternelles
. (Jean Glauzy)
Aimer, c’est sublimer les sens..
Le toucher devient une caresse..
Le goût devient un désir..
le regard devient le baiser..
L’ouie devient une symphonie..
L’odorat devient un parfum..
Il est une tristesse si profonde, qu’elle ne peut même pas prendre la forme des larmes..
Après un certain temps,
tu apprendra que le soleil brûle si tu t’y exposes trop.
Accepteras le fait que même les meilleurs peuvent te blesser parfois,
et que tu auras à leur pardonner.
Tu apprendras que parler peut alléger les douleurs de l’âme.
Tu apprendras qu’il faut beaucoup d’années pour bâtir la confiance,
et à peine quelques secondes pour la détruire,
et que toi aussi, tu pourrais faire des choses
dont tu te repentiras le reste de ta vie.
(Willam Shakespeare)
Je suis amoureuse de la solitude,
est-ce en réalité de l’orgueil,
de la prétention envers soi-même?
Je reste avec moi, je n’ai que mes pensées,
que mes idées.
facilité… personne pour vous contredire;
lâcheté.. personne avec qui se battre…(auteur inconnu)
Il fait triste sur ma ville comme il fait triste dans mon coeur
……….et me vient subitement de noter le texte de Julos Beaucarne.
.
J’aime ces gens étranges, aux trous dans la mémoire,des trous remplis de plaies présentes ou bien passées,
vérités toutes crues remontant en marée,quand les masques ont fondu, que la farce est jouée.
J’aime ces gens étranges à la mémoire trouée,qui échangent des bribes de leur vie passée.
Voyageur sans papiers, sans qualification; ils sont ce que nous sommes et nous leur ressemblons.
J’aime ces gens étranges qui repèrent la fausseté des gestes et des paroles,
réclament l’amour vrai, négligent tout le reste; ils sont vérité nue; ils aiment ou ils détestent.
J’aime ces gens étranges,qui ont le mal d’enfance, comme le mal du pays,
qu’ils chercheraient en silence derrière l’apparence de leur mémoire perdue.
Leurs coups parlent une langue que nous n’entendons plus
William Shakespeare:
J’ai escaladé ces murs sur les ailes légères de l’amour;
car les limites de pierres ne sauraient arrêter l’amour,
et ce que l’amour peut faire,
l’amour ose le tenter
L’indifférence donne un faux air de supériorité…..
Le regard indifférent, est un perpétuel adieu.
Quand on a un gros chagrin,
il faut le porter loin,
pour le laisser un peu
s’égrener sur la route.(du net)