—————————————————————————————————————————-détente.
S’accorder des moments de détente
pour laisser reposer son esprit
est indispensable à quiconque souhaite réussir .
S’accorder des moments de détente
pour laisser reposer son esprit
est indispensable à quiconque souhaite réussir .
Le flirt est l’art de s’adonner à l’amour sans avoir l’air d’y toucher et d’y toucher sans avoir l’air..
(Decely
« entre l’enfance et la vieillesse,
il y a l’espace d’une vie,
le temps de quelques amitiés et d’un grand amour de jeunesse..
La prière est pas vain amusement d’une vieille femme.
Correctement compris, appliqué,
il est l’instrument le plus puissant de l’action.
(mahatma Gandhi)
« Une maladie, un deuil, on en parle,
mais un chagrin d’amour scelle les mots au bord des lèvres
comme si, une incompréhensible pudeur devait les retenir;
et nous empêchait de les communiquer aux autres.
(Eve Belis)
la femme a une puissance qui se compose ;
de la réalité, de la force et de l’apparente faiblesse.
Tu te sens triste?
Imagine qu’il y a un arbre qui a grandi 20 ans
pour finir en cahier Justin Bieber.
(mathieu Sanchez)
Ëtre authentique c’est accepter de voir qu’on est ,
et pas ce que l’on imagine
être en regardant son personnage dans un miroir.
(Karlfried Graf Durckheim)
La pudeur sied à tout le monde, mais il faut savoir la vaincre, et jamais la perdre. (Montesquieu)
Un beau jour tu t’es levée,tu as pris une feuille,
assembler quelques mots et un stylo,tu t’es mise à écrire
Tu n’as jamais vraiment été douée , pour t’exprimer à voix haute,
et ne voulait pas prendre de raccourci, juste apaiser tes maux,
former des phrases, sans véritable but en ligne de mire ,
très vite tu t’es sentie fascinée, apaisée par les rimes;
passer du gribouillage à la phase de rédaction;
tu as travaillé matin et soir, pour parfaire ta diction. (du net)
Laurent Thailhade :
Il avait perdu un oeil et recevait sans cesse des apitoiements,
il répondit un jour: enviez-moi au contraire,
quand je mourrai, je n’aurai qu’un oeil à fermer..
Rêver de fées,
c’est retourner aux rêves de l’enfance permanente…
aux beautés des images premières .
(P Dubois)
Ils ne s’embrassaient guère,
se faisaient rarement la bise..
Leurs embrassades étaient toujours courtes,
mais chacun hésitait à se détacher le premier.
Leurs baisers étaient toujours sur la joue,
jamais sur la bouche,
mais ils ne savaient pas lequel des deux l’avait décidé.
Robert se disait:
« je ne choisirai pas sa joue, si elle me tendait ses lèvres »
et Katherine pensait;
« je lui tendrai mes lèvres, s’il n’allait tout de suite à ma joue. »
(Jonathan Coe)