————————————————————————belle image.
Ton parfum flotte encore….
Ton parfum flotte encore
dans les draps de coton
comme un restant de corps
où se mêle ton nom.
……….
Ta chaleur court encore
sur la peau de ma main
mémoires des aurores
où elle couvait ton sein.
……….
ta bouche n’est plus là
ni le son de ta voix
et je sens que tout bas
une plaie s’ouvre en moi.
………..
Je crie dans le silence
la douleur de l’absence
et le jour qui pâlit
s’abîme dans mon cri.
(Frédéric gerchambeau)
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