—————————————————————————–la dernière fois….
la dernière fois que tu m’as dit « bye »,
j’ai oublié qu’il se pouvait que ce soit la dernière fois.
(Sandra Manegre)
la dernière fois que tu m’as dit « bye »,
j’ai oublié qu’il se pouvait que ce soit la dernière fois.
(Sandra Manegre)
Le sentiers de ton coeur.
je retrouverai ce sentier
où toi et moi, on se tenait la main
cette route de laquelle je me suis éloignée
je la chercherai nuits et jours et matins et soirs.
….
je retrouverai le chemin de notre amour
où sous le clair de lune on s’est croisé
je chercherai cet endroit où un jour
tout doucement tu as su m’apprivoiser.
….
Je chercherai ton regard
cette lueur qui brille dans tes yeux
je fouillerai maisons et hangars
pour qu’on soit de nouveau tous les deux.
….
Je puiserai dans nos souvenirs
un indice, une information
je retrouverai ce désir
qui enflammait notre passion.
….
Je retrouverai les sentiers de ton coeur
où on s’est connus, où on s’est aimés
peu importe le jour et l’heure
je chercherai tant que je n’aurai pas trouver. (du net)
Un roman est comme un archet,
la caisse du violon qui rend les sons,
c’est l’âme du lecteur.
(Stendhal)
C’est un petit chat effronté comme un page;
Je le laisse sur ma table jouer souvent.
Quelquefois il s’assied sans faire de tapage
on dirait un joli presse-papier vivant.
….
Rien en lui, pas un poil de son velours ne bouge,
longtemps il reste là, sur une feuille blanche,
à ces minets tirant leur langue de drap rouge,
qu’on fait pour essayer le plumes ressemblant.
….
Quand il s’amuse, il est extrêmement comique,
pataud et gracieux, tel un ourson drôlet,
souvent je m’accroupis pour suivre sa mimique
quand on met devant lui la soucoupe de lait.
Il y a des personnes qui te lisent comme un livre ouvert,
qui te ferme comme un livre lu,
qui t’écrivent comme un livre blanc,
qui perdent le signet,
qui voulait te lire, mais les émotions n’étaient pas en solde,
qui t’ont déballé et placé sur une étagère,
qui t’ont amené à la maison et mis dans la bibliothèque.
….
Peut-être qu’un jour quelqu’un te lira sérieusement,
de la couverture à la dernière page
et te gardera avec lui comme le cadeau précieux.
(francesco P.Ettari)
l’amour n’est ni grand ni petit, il est seulement l’amour.
On ne peut pas mesurer un sentiment
comme on mesure une route!
si vous le faites, vous commencez à comparer
avec ce que vous espérez trouver.
de cette manière, vous entendrez toujours une histoire
au lieu de parcourir votre propre chemin.
Le bonheur;
on croit parfois le reconnaître quand il n’est plus là…
sauf si on décide d’ouvrir les yeux
et de voir qu’il est partout,
et qu’on peut donc en profiter chaque jour si on le décide.!
ne pas avoir de dispute dans une relation,
montre un manque d’intérêt.
Les gens qui se soucient les uns des autres,
ont tendance à se disputer de temps en temps.
lorsque tu poursuivras ton bonheur,
des portes s’ouvriront ou tu ne pensais pas en trouver
et ou il n’y aurait pas de pertes pour autre que toi.
Les gitans, les chats errants et,
les roses trémières savent quelque chose sur l’éternel
que nous ne savons plus!
Il n’y a pas moins voyageur qu’un gitan ou un forain
puisqu’il emmène sa coquille partout avec lui.
(bartabas)
seul le présent nous appartient,
les beaux rêves sont écrits sur le sable..
le vent souffle..
il n’esn reste rien..
(J.Steinbeek)
Une belle histoire qui commence inonde le monde de poésie,
une union qui dure irrigue de poésie la vie quotidienne,
la fin d’un amour nous rejette dans la prose.
(Edgar Morin)
L’absence finit par vaincre l’amour le plus fort,
et la présence occasionnelle est encore plus terrible
pour l’amoureuse sans espoir que la complète séparation.
Une femme est l’amour, la gloire et l’espérance.
Aux enfants qu’elle guide ,
à l’homme consolé, elle élève le coeur
et calme la souffrance comme un esprit des cieux sur la terre exilé.
(gérard de nerval)
Il y a un art caché dans la simplicité
qui donne une grâce à l’esprit et à la beauté
que l’affection et la parure ne lui peuvent donner.
de tous ces gens qui courent sans s’arrêter,
se croisent sans se voir, se frôlent sans se toucher,
alors qu’il suffirait de si peu;
un instant, un arrêt, une parole,
un sourire, pour que leur existence soit transformée.
(Janine Boissard)