————carte.
L’homme sait enfin qu’il est seul
dans l’immensité indifférente de l’univers
d’où il a émergé par hasard.
Non plus que son destin, son devoir n’est écrit nulle part.
A lui de choisir entre le royaume et les ténèbres.
L’homme sait enfin qu’il est seul
dans l’immensité indifférente de l’univers
d’où il a émergé par hasard.
Non plus que son destin, son devoir n’est écrit nulle part.
A lui de choisir entre le royaume et les ténèbres.
J’adore cette sensation d’avoir des ailes dans le dos
et un papillon dans le coeur.
Il y a des moments dans l’existence,
où une porte s’ouvre et où votre vie dérape dans la lumière.
De rares instants où quelque chose se dévérouille en vous.
Vous flottez en apesanteur,
vous filez sur une autoroute sans radar.
Les choix deviennent limpides,
les réponses remplacent les questions,
la peur cède la place à l’amour.
Il faut avoir connu ces moments..
ils durent rarement.
Dutronc a dit avec humour:
« Ce qui est amusant, c’est de jeter une bouteille à la mer ..
et de croire qu’elle rapportera la réponse.. »
Si tu te sens seule, si tu es triste,
écris quelques mots, mets les dans une bouteille,
puis jettes là dans l’océan internet.
La bouteille échouera sur une des plages du net
et quelqu’un te lira.
On cherche souvent le bonheur à l’autre bout du monde,
pour finalement le trouver sur le seuil de notre porte
lorsque l’on revient chez soi.
Elle disait
« j’ai déjà trop marché,
mon coeur est déjà trop lourd de secrets,
trop lourd de peine »
Elle disait..
« je ne continue plus..ce qui m’attend,
je l’ai déjà vécu.. c’est plus la peine. »
Elle disait..
« que vivre était cruel, elle ne croyait plus au soleil;
c’était l’hiver dans le fond de son coeur.
Il peut y avoir de réalisme véritable que si l’on fait part à l’imagination,
si on comprend que l’imaginaire est dans le réel,
et que nous voyons le réel par lui.
(Mchel butor)
Le bonheur est comme un papillon.
Plus vous courez après, plus il vous échappe.
Mais si vous tournez votre attention ailleurs,
il viendra alors se poser doucement sur votre épaule.
Si vous pouviez me dire où les grands esprits se rencontrent;
je me suis perdue en route.
Le temps passe…
et il fait tourner la roue de la vie ,
comme l’eau , celle des moulins.
Aimer, c’est risquer le rejet..
Vivre, c’est risquer de mourir..
Espérer, c’est risque le désespoir..
Essayer, c’est risquer l’échec..
Risquer, est une nécessité.
Seul celui qui ose risquer est vraiment libre.
(Paulo Coelho)
Le regard sur l’océan.
Cheveux au vent, sue ce bateau, je contemple l
‘immensité de l’océan, magnifique en son temple.
donnant la sensation, l’évasion, la beauté naturelle,
rayonnante sous les couleurs d’un arc en ciel…
Sa grandeur fait de lui un endroit féerique,
figé, mon regard transmet l’image magique,
dans le doux mouvement des vagues, je m’évade.
Je vois la danse, au loin des dauphins en ballade…
Le bruit des remous bourdonne dans mes oreilles
, bougeant en profondeur toutes ses merveilles.
La clarté de l’eau me laisse apercevoir au fond
toutes ses plantes qui dansent entre les poissons…
Dans l’ivresse de cette majestueuse grandeur,
je me laisse bercer dans ce paysage de bonheur,
éblouissant mes yeux de milles couleurs.
Je souris heureuse d’admirer l’océan et ses profondeurs. (du net)
trouver la fève:
faire une bonne découverte..une heureuse rencontre..
trouver le noeud d’une affaire et d’une question.