La pudeur de la femme est un mur mitoyen.
N’allez pas, imprudent le dégrader vous-même,
car il s’effritera à la longue, fera une brèche,
et les voisins entreront chez vous..
(Jules Renard)
La pudeur de la femme est un mur mitoyen.
N’allez pas, imprudent le dégrader vous-même,
car il s’effritera à la longue, fera une brèche,
et les voisins entreront chez vous..
(Jules Renard)
La lumière pour te sortir de l’ombre,
ton guide dans l’hostilité quotidienne,
chacun donne à son ange
sa propre fonction.
Il est notre moitié divine,
celui sur qui reposer,
il sillonne ta vie,
il connaît ton coeur.
L’ange est ta paire d’ailes
pour franchir le plus important des obstacles;
l’ange est ton poumon,
qui te permet de respirer.
Attribué à ta naissance,
l’ange te tient la main,
pour que le jour où tu t’éteindras,
tu puisses à ton tour veiller sur quelqu’un. (du net)
Certes, la femme n’est pas tout, mais tout repose sur elle…
Regarde autour de toi, consulte l’histoire,
attarde-toi sur la terre entière,
et dis-moi ce que sont les hommes sans les femmes,
que sont leurs voeux.
Que l’on soit riche comme Crésus ou pauvre comme Job, opprimé ou tyran,
aucun horizon ne suffirait à votre visibilité,
si la femme vous tournait le dos!
(Yasmina Khadra)
L’amour est un fleuve,où les eaux des rivières se mèlent sans se confondre.
(Jacques Bourbon Busser)
ma solitude me pèse,
me frappe à grand coup de claque.
Je ressens comme un immense chaleur qui me coupe le souffle,
qui ne veut plus me laisser vivre légère comme une plume.
Ma solitude m’enlève mes rêves,
mes passions et mon vouloir,
mes mots ne viennent plus, s’effacent jour après jour,
pour donner naissance à la détresse qui contribue à mon néant.
Vivre est ma devise,
donner est mon bonheur,
partager est ma liberté,
aimer est mon devoir.
Solitude ne soit plus!
transforme -moi en une pluie de dons,
afin de contribuer à la réalisation de mon devenir…
Sort de moi que respire le bonheur d’exister,
le bonheur d’écrire,
le bonheur de parler avec qui veut m’entendre.
Souffle, vide, quitte cette demeure qui ne t’appartient pas,
deviens en toi un souffle magique
qui propulse les esprits vers un avenir,
un avenir de semences et de récoltes riches.
Solitude, amie des accablés,
tu écrases sans pitié les esprits vifs,
mais tu fructifies la magie de nos sens.
La solitude, ce n’est pas être seule.
La solitude est plus profonde.
C’est regarder les gens qui vous entourent , et se dire:
« qui s’intéresse à moi,
qui m’aime sincèrement;
qui aurait peur de me perdre?
Alors, on se rend compte que la réponse est toujours la même..
personne..c’est ça la solitude! »
Se sentir seule dans le coeur et l’âme.
Perdre l’envie de sourire,
l’envie de vivre
car la solitude vous ronge et vous laisse pantelant de douleur.
Le premier rendez-vous est bizarre..
Le premier baiser est paradisiaque..
Le premier amour est irremplaçable..
Et, la première blessure est innoubliable..
il n’est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long.
(les frères ennemis)
Le regard chez une femme est un interprète toujours charmant
qui se charge de dire avec complaisance
ce que la bouche n’ose prononcer.
(Pierre carlet de Chamblain de Marivaux)
Tout lecteur est soit un voyageur qui fait une pause
ou quelqu’un qui rentre chez lui.
(alberto Manguel)
Un adulte va lire pour se distraire,
un enfant va lire pour se construire.
Aucune technologie ne pourra remplacer
la chaleur d’un câlin,
la douceur d’une caresse
et l’intensité d’un regard.
Pour réussir, retenez bien ces trois maximes:
Voir c’est savoir..
Vouloir c’est pouvoir..
Oser, c’est avoir.
(Alfred de Musset)
J’écris avec la plume de mon coeur
et l’encre de mes pleurs,
dans les moments sombres,
où le sommeil abandonne mes paupières
et la parole devient pierre,
des mots qui tombent par terre,
qui racontent l’histoire
d’une vie ou d’un soir…
J’écris avec la plume de mon coeur
et l’encre de mes pleurs,
dans les profondeurs de la nuit,
des mots sur les pages de ma vie…
la rencontre avec l’autre se fait toujours dans un contexte de réticence et d’émerveillement.
Le pire, c’est de rater la merveille par peur ou paresse…
(Pascal Bruckner)