——marcher…
marcher…. c’est aller au bout du monde,
tout en allant au bout de soi-même..
c’est se mettre en vacances de l’existence…
c’est exister en dehors des vacances.
(Jacques Lanzmann)
marcher…. c’est aller au bout du monde,
tout en allant au bout de soi-même..
c’est se mettre en vacances de l’existence…
c’est exister en dehors des vacances.
(Jacques Lanzmann)
Le jour où nos pas ont caressé la terre,
nous étions deux amants en fuite du passé.
C’était en mars, la fin de l’hiver.
Les rayons du soleil promettaient de belles journées.
Depuis toujours, nous rêvions de toi, l’Italie.
Venise pour deux amants reste un lieu bucolique.
Ton charme, tes mystères nous ont conquis,
avec tes gondoliers
fredonnant le coeur nostalgique!
Sur ta place aux couleurs vives et gaies,
se déverse l’alchimie d’un peuple pacifique.
Marchant parmi les pigeons sur tes gris pavés,
le temps s’estompe et te donne un air magique.!
Le jour où nos pas ont quitté ta terre,
nous étions futurs époux en proie à un bel avenir.
C’était en mars, sous un soleil d’hiver,
sur le pont Rialto, avec la promesse d’y revenir! (du net)
Il te suffit d’un regard pour te faire comprendre,
d’une parole pour te faire entendre,
d’un geste pour te défendre,
d’un coeur pour que tu sois tendre
mais d’une flamme pour te réduire en cendre.
QUE TE RESTE T-IL A APPRENDRE?
(Descréa)
la route véritable de l’amour
n’est pas aussi unie qu’un chemin de fer…
(Charles Dickens)
Celui ou celle qui ne peut plus éprouver ni étonnement, ni surprise,
est pour ainsi dire mort(e): ses yeux sont éteints.
(Albert Einstein)
Je crois que rien ne peut effacer le passé.
Je crois que rien ne peut m’aider.
Je crois que la souffrance m’a dominé.
Je crois que cela m’a bien blessé.
Seule dans l’ombre je pleurais, seule dans l’ombre je souffrais.
Seule dans l’ombre peu à peu, mon coeur mourrait.
Seule dans l’ombre j’ai appris à ne plus pleurer.
Seule dans l’ombre je me suis forgée,
pour ne plus jamais que tu ne puisses atteindre mon coeur,
et d’une violence me l’arracher.
Tu m’as éloigné du bonheur.
Loin de toi je renaîtrai.
Loin de toi à nouveau je pourrai.
Loin de toi à nouveau j’essayerai.
Loin de toi enfin je vivrai.. (du net)
N’oubliez pas que chacun de nous trébuche;
voilà pourquoi il est si réconfortant de marcher main dans la main!
Aider le gens je peux, mais m’aider moi-même je ne peux.
Je me jette aux oublis, pour aux autres redonner vie.
De toute façon je ne sais pas quoi faire de moi..
On me dit « prends soin de toi ». On me dit « ne t’oublie pas »
mais prendre soin de moi, je ne sais pas, ça ne compte pas.
Je crois en eux, mais pas en moi.
Ils ont une lumière en eux que je n’ai pas.
Alors je pense que je ne mérite pas que l’on porte attention sur moi.
Je préfère aider mes amis(es), et que moi on m’oublie.
La seule chose en quoi je crois, c’est le jour ou elle me prendra,
elle me sauvera de tous ces doutes,
je n’errerai plus à travers ces routes.
Elle me protègera et me consolera.
Je sais qu’elle sera toujours avec moi,
car quand elle m’aura trouvée,
quand je la rejoindrai, d’ici je partirai.
Au moins je ne serai plus seule.
Car la mort bercera mon cercueil… (du net)
Mince tu te fais juger..
Laid tu te fais juger..
Beau tu te fais juger..
Gros tu te fais juger..
MORT TU ETAIS PARFAIT!
L’enfer c’est quand l’esprit s’enfuit à la dérive,
quand se ferment les yeux pour ne plus voir le jour,
quand notre coeur est lourd, vide de tout amour.
L’enfer est installé, plus rien ne vous captive.
On ne peut plus lutter, n’en n’ayant plus la force,
reste à se prélasser en attendant demain,
pour chauffer votre coeur qui viendra pour amorce.
Attendre cet espoir, c’est peut-ête au purgatoire,
car on ne peut aller d’enfer au paradis.
Il n’est qu’un sens unique et l’autre est interdit,
chacun sait qu’il n’existe aucune échappatoire.
le paradis, c’est quand l’esprit à nouveau s’ouvre,
quand les yeux sont curieux des la levée du jour,
quand le coeur est léger et comblé d’amour.
Le paradis arrive et le ciel se découvre.
pour pouvoir le garder, il faut suivre la route,
en oubliant hier, sans penser à demain,
et marcher à grand pas, en serrant une main,
bien écarter les yeux et rester à l’écoute.! (du net)