La femme est la fleur.
Quel mariage d’émotions qu’on arrose de la larme du bonheur
pour que jamais elle ne perde les pétales de son coeur.
(Descrea)
La femme est la fleur.
Quel mariage d’émotions qu’on arrose de la larme du bonheur
pour que jamais elle ne perde les pétales de son coeur.
(Descrea)
Une personne forte n’est pas celle qui ne pleure jamais;
elle est celle qui peut fondre en larmes par moments
pour ensuite reprendre les armes et continuer à se battre.
« un baiser qu’est ce que c’est?
un serment fait d’un peu plus près,
un aveu qui veut se confirmer,
un pont rose qu’on met sur le i du verbe aimer.
C’est un secret qui prend la bouche pour oreille. »
(edmond Rostand)
de Maurice Carème: Le chat et le soleil.
Le chat ouvrit les yeux, le soleil y entra.
Voilà pourquoi le soir, quand le chat se réveille,
j’aperçois dans le noir deux morceaux de soleil.
Nous avons deux épaules pour que l’amour se repose sur l’une et l’amitié sur l’autre.
(mazouz Hacène)
L’amitié comme l’amour, demande beaucoup d’efforts, d’attention, de constance;
elle exige surtout de savoir offrir ce que l’on a de plus cher dans la vie:
DU TEMPS!
(catherine Deneuve)
Tout commence par un rêve.
Ajoute la foi et cela devient une croyance.
Ajoute l’action et cela devient une partie de la vie.
Ajoute la persévérance et cela devient un objectif en vue.
Ajoute la patience et le temps et cela se termine par un rêve devenu réalité.
(Doe Zantamata)
Sous ses cheveux rebelles par un noeud obligés
de rester en arrière, le front haut se dégage,
lisse au-dessus des sourcils épilés
qu’un trait de noir souligne encore davantage.
Ses yeux sombres au regard lointain
traversent en un instant les objets et les êtres,
par hasard disposés le long de son chemin
et qu’elle ne souhaite pas vouloir reconnaître.
Son nez discret, à peine élargi
forme avec sa bouche aux lèvres épanouies
un ensemble harmonieux au charme un peu étrange
sans heurt ni défaut, sans que rien ne dérange.
Ses traits ainsi sculptés par des enlacements
d’amours informatés dont il semble
que nature ait choisi simplement
d’en garder le meilleur au fil des années,
portent en eux, le message de la chose achevée.
Mais ce qui émerveille plus encore que l’aspect
de son visage bronzé luisant au soleil,
c’est le plaisir suprême, vécu avec respect
de pouvoir contempler sa marche sans pareille.
Son allure de reine, aérienne et lascive,
gardienne d’un héritage dont on ne sait l’issue,
la transporte , gazelle aux formes suggestives,
ici ou là, partout sans jamais qu’elle ne mue.
Même l’air s’écarte pour la laisser passer,
respectueux de sa grâce et de sa majesté,
frôlant à peine d’un souffle, pour ne pas l’effaroucher,
la soie de sa vêture qu’il fait juste remuer.
Si un moment béni vous fait un jour croiser
cette belle cafrine, jamais je vous le jure,
aussi longtemps que la vie vous dure,
jamais, au grand jamais, ne pourrez l’oublier.
(poème de Roger Barbet « voie dorée.)