——————————————————————–amusez vous si vous avez le temps..
Daliel Pennac a écrit:
C’est sa durée, et elle seule, qui authentifie le réel.
Qu’un cauchemar ne finisse pas, il devient votre réalité, et il faut faire avec.
Que votre vie s’achève, elle n’était qu’un songe,
et il faut bien, ne plus faire avec..
un miroir est une surface faite pour réfléchir,
mais parfois bien impolie quand elle vous fait réfléchir…
‘Gérard de Rohan Chabit)
J’aime dans le chat, ce caractère indépendant et presque ingrat, qui le fait ne s’attacher à personne,
et cette différence avec laquelle il passe des salons à ses gouttières natales.
On le caresse, il fait le gros dos; mais c’est un plaisir physique qu’il éprouve
et non comme le chien, une niaise satisfaction d’aimer et d’être fidèle à son maître.
Le chat vit seul, il n’a nul besoin de société, il n’obeit que quand il veut,
fait l’endormi pour mieux voir, et griffe tout ce qu’il peut griffer.
(Chateaubriand)
La liberté ne consiste pas seulement à suivre sa propre volonté; mais aussi parfois à la fuir!
Le mariage exige pour être un succès,non seulement une attraction physique,
mais de la volonté, de la patience, et une acceptation de « l’autre » toujours malaisée.
Si ces conditions sont remplies peut alors se former une belle et solide affection,
un mélange unique d’amour, de sensualité et de respect.
(André Maurois)
Le rire c’est comme les essuie-glaces;
ça n’arrête pas la pluie, mais ça permet d’avancer.
(Gérard Jugnot)
Il faut remercier notre passé, il nous a offert notre présent,
car on ne peut-être aujourd’hui sans avoir été hier.
Un seul oiseau en cage et la liberté est en deuil.
La vie est une météo imprévisible..
L’âge passe comme le soleil qui laisse l’ombre derrière lui:
Le lever, c’est la jeunesse; le coucher de l’astre, c’est la vieillesse.
(Félix Lope de Vega)
Avec toi. Avec toi, je n’ai pas besoin de printemps,
pas besoin de soleil pour me rechauffer,
pas besoin de feu pour brûler le temps
tu es la douce chaleur dans mon café.
…………….
Avec toi, je n’ai pas besoin de manteau
ni d’autre abri pour passer l’hiver.
Je te jure que tu es sur ma peau
ce que le soleil est sur l’univers.
…………….
Ni la neige, ni les brouillards de mon corps
le stress et le froid de mon coeur
se perdent dans tes rayons d’or.
……………
Ma température est celle de tes seins
et je n’ai pas d’autre endroit, d’autre bonheur
que la chaleur purifiante de tes mains. (du net)
C’est une folie d’haïr toutes les roses parce qu’une épine vous a piqué,
d’abandonner tous les rêves parce que l’un d’entre eux ne s’est pas réalisé,
de renoncer à toutes les tentatives parce qu’ une a échoué.
C’est une folie de condamner toutes les amitiés parce qu’ une vous a trahi,
de ne croire plus à l’amour juste parce qu’un d’entre eux a été infidèle,
de jeter toutes les chances d’être heureux juste parce que quelque choses n’est pas allé dans la bonne direction.
Il y aura toujours une autre occasion, un autre ami,
un autre amour, une force nouvelle.
Pour chaque fin, il y a toujours un nouveau départ.
(Antoine de Saint-Exupéry)
(Armand de Faux . hommage à la femme.)
Ô compagne de l’homme et sa plus douce amie!
Femme qu’un Dieu d’amour mit sur notre chemin.
Et qui dans ce labeur qu’on appelle la vie,
Quand notre coeur faillit, nous tendez vote main;
Rester auprès de nous, car tout à vous nous lie,
Sans vous, nptre bonheur est passager et vain,
Et, lorsque nous souffrons, notre douleur s’oublie,
Si nos pleurs en tombant soulèvent votre sein.
Qu’un stoïque insensible à votre enthousiasme;
A ses impurs dédains ajoute le sarcasme!
Ses coups n’atteindrons pas votre front radieux.
Qui ne sait pas que Dieu vous a faite si belle
Que jadis plus d’un ange, épris d’une mortelle,
pour mourir dans ses bras, a déserté les cieux?