————————————————————je t’aime..un peu..beaucoup..passionnément………..
on n’efface jamis totalement de son coeur les émois du premier amour. (Bevely Barton)
on n’efface jamis totalement de son coeur les émois du premier amour. (Bevely Barton)
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,
au mois de mai, dans le jardin qui s’ensoleille,
nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.
Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête,
nous nous croirons encore de jeunes amoureux,
et je te sourirai en branlant la tête,
et nous ferons un couple adorable de vieux.
Nous nous regarderons assis sous notre treille,
avec de petits yeux attendris et brillants.
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs…..
Et comme chaque jour je t’aime davantage,
aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain,
qu’importeront alors les rides du visage?
Mon amour se fera plus grave et serein.
Songe que tous les jours des souvenirs s’entassent.
Mes souvenirs moi seront aussi les tiens.
Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent
et sans cesse entre nous tissent d’autres liens.
c’est vrai, vieux, très vieux, faiblis par l’âge,
mais plus fort chaque jour, je serrerai ta main,
car vois-tu chaque jour je t’aime davantage,
aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain. (du net)
la nuit dure longtemps, mais le jour finit par arriver. (proverbe africain)
Lorsque je vais au cimetière, je regarde ta tombe:
Je ne pense à rien alors, je ne pense que des choses triviales, je me dis que tu es là.
A deux mètres sous mes pieds, deux mètres ou trois, je ne sais plus, et je ne crois pas ce que je pense,
et ça vient d’un seul coup, ça vient lorsque je me retourne, c’est là que je te vois,
dans l’amplitude et l’ouvert du paysage, dans la beauté sans partage de la terre et du grand ciel,
toi partout à l’horizon, c’est en tournant le dos à ta tombe que je te vois.
(Christian Bobin)
c’est dans la rosée des petites choses, que le coeur trouve son matin et se rafraîchit. (Khalil gibran)
Les mots que l’on a pas prononcés, sont les fleurs du silence.
La fleur es une fleur, et le temps son fléau.
Nul ne peut lutter , et quand le temps est venu la mort l’enlève.. (anonyme)
je m’arrête un instant et je prends tout mon temps,
je marche d’un pas lent, le visage en plein vent,
je cours vers le soleil, j’admire ces merveilles
qui me donnent le goût de vivre.
(Lynn Caron.)
moi je crois qu’on garde toute sa vie en soi, l’enfant qu’on a été.
On a beau l’habiller de sérieux, de principes, de responsabilités ou d’insouciance,
il est là, et vous regarde de son regard d’avant.
Vous ouvrez la fenêtre, il passe; il sommeille dans cette odeur,
danse derrière les yeux fermés, rit entre les larmes
et quand on l’attend le moins, un vent le porte jusqu’au coeur.
(Janine Boissard)
on ne peut compter les étoiles, ni les gouttes que laisse tomber la pluie.
On ne peut compter le bonheur qui sommeille en chacun de nous,
ni non plus tous les malheurs qui s’acharnent sur tous les vivants.
On ne peut compter toutes les vérités qui s’enfouissnt au profond de nous.
On ne peut compter l’amour comme on compte les jours,
ni compter le bonheur qu’il nous apporte…
Moi, je ne compte plus les jours où mon coeur est heureux… (du net)
J’aime le bleu,
le bleu du ciel, de la mer, des bleuets, de tes yeux.
J’aime le vert,
le vert des prairies, des feuilles, des nénuphars, du kiwi.
J’aime le rouge,
le rouge d’un coeur, d’une rose, des cerises, de l’amour.
J’aime le jaune,
le jaune du soleil, des tournesols, des jonquilles, du citron.
J’aime le rose,
le rose de tes joues, les roses roses, les flamands roses, de l’eau de rose.
J’aime l’orange,
l’orange de la chair du melon, les citrouilles, les potirons, le jus d’oranges.
J’aime le violet,
le violet des bonbons, les violettes, les hortensias, de l’encre.
Mais j’aime aussi toutes les couleurs
qui colorent ma vie tel un arc-en-ciel. (Fabienne)