_________________________________________________________________belle image.
Le désert attire le nomade; l’océan le matelot; l’infini le poète. (Joseph Roux.)
Gustave le Clezio a écrit:
« c’était comme s’il n’y avait pas de nom ici, comme s’il n’y avait pas de paroles.
Le désert lavait tout dansson vent, effaçait tout.
Les hommes avaient la liberté de l’espace dans leur regard, leur peau était pareille au métal. »
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