L’amour volage est semblable au torrent.
Il tourne, il roule, il fuit en murmurant
Tari dans sa source égarée; né d’un orage , il en a la durée.
(Pierre-Joseph Bernard)
L’amour volage est semblable au torrent.
Il tourne, il roule, il fuit en murmurant
Tari dans sa source égarée; né d’un orage , il en a la durée.
(Pierre-Joseph Bernard)
le flacon doit dépasser le stade de récipient pour se placer en objet d’art:
-on le regarde, le prend, le touche, l’emporte.
(Jean-Paul Gauthier)
c’est cela la solitude: se retrouver seule et apprendre à s’estimer,
avancer dans le vide sans autres encouragements,
sans autres applaudissements que ceux que l’on s’accorde dans le silence effroyable du tête à tête de l’âme.
(Katherine Pancol)
Edmond et Jules de Goncourt:
« Une femme disait à un de ses amis pour s’excuser de ses amants:
-Qu’est-ce que vous voulez que je fasse , quand il pleut et que je m’ennuie? »
En poussant l’aiguille du cadran, vous ne ferez pas avancer l’heure… (Victor Hugo)
Une main posée sans appropriation, ni détention est plus qu’une offrande ; c’est une caresse d’infinitude.
(Jacques salomé)
Une feuille d’or.
Une feuille d’or rousse, un frisson de mousse, sous le vent du nord.
Qutre feuilles rousses, quatre feuilles d’or, le soleil s’endort dans la brume douce.
Mille feuilles rousse que le vent retrousse, mille feuilles d’or sous mes arbres morts.
(alain Debroise)
Si en regardant un arbre , vous en percevez le came, vous devenez calme à votre tour.
Vous voilà en relation sur un plan très profond.
Vous ressentez l’unité avec tout ce que vous percevez dans et par ce came.
Se sentir uni à tout, c’est aimer.
(Eckhart Tolle)
Par tes mains j’ai mesurer le monde et sur la pure balance de tes épaules,
j’ai pesé l’or du soleil et la pâleur de la lune.
(Sophia de Mello Breyner Andresen)
L’esprit humain a une grande affinité pour le rêve, qui le conduit sans effort vers des pays enchantés. (Erasme)
Quelquefois mes rêveries finissent par la méditation mais plus souvent mes méditations finissent par la rêverie,
et durant ces égarements mon âme erre et plane dans l’univers sur les ailes de l’imagination,
dans des extases qui passent toute autre jouissance.
(Jean-Jacques Rousseau)