j’oublie mes migraines…
quand tu déposes un tendre beaiser sur mon front.
J’oublie mes peines…
quand du revers de la main tu effleure ma joue.
J’oublie mes problèmes…
quand dans tes bras, tu me serres.
J’oublie ma douleur…
quand tes mains massent tout mon corps endolori.
Mais jamais je n’oublie…
quand tu me dis doucement : Je t’aime.
(Nathalie Auclair)
Lorque tu montes à l’échelle du succés, souris à tous ceux que tu dépasses ,
car ce sont les mêmes que tu croiseras en redescendant.
Il est du lointain comme de l’avenir; un immense, un obscur horizon se déroule devant notre âme,
nos sentiments s’y perdent comme nos regards,
et nous brûlons hélas! de donner tout ce que nous sommes
pour savourer pleinement les délices d’un sentiment unique, grand et sublime.
(Goethe)
J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre.
-< Dis Papa, qu’est-ce qui arriverait si je ne t’aimais plus.?>
-<Si un jour, mon enfant tu cessais de m’aimer, plus de fleurs ni de vent ni de soleil levés.
C’est la terre tout entière qui cesserait de tourner;
alors, si tu veux qu’elle continue de tourner, ma chérie il faudra toujours m’aimer.>
(Hugues Auffay)
Je ne perds jamais de vue que le seul fait d’exister est une chance.
