__________________________il connaît toute les ficelles c’est un vrai pantin… (Roland Topor)
Quand on prend la peine de découvrir les ficelles, on se sent moins marionnette.. (Robert Blondin)
Quand on prend la peine de découvrir les ficelles, on se sent moins marionnette.. (Robert Blondin)
J’aime le ciel quand il est bleu
Comme le sont les jolis rêves
Que l’on fait en fermant les yeux
Pendant des minutes brèves.
J’aime le ciel quand il est gris
Comme les pensées nostalgiques
Qui sont pour moi la mélodie
De l’âme des violons magiques.
J’aime le ciel quand il est rouge
Le soir vers le couchant doré
Le vent se tait, plus rien ne bouge
Les feuilles jaunes sont tombées.
J’aime le ciel quand il nous offre
Les sept couleurs de l’arc-en-ciel
Ce sont des perles dans un coffre
Fermé à clé par le soleil.
J’aime le ciel est ses couleurs
Il est changeant comme nous-même
C’est un bouquet dont chaque fleur
Est une rose qui vous aime.
(auteur inconnu)
Celui qui ne sait pas partager, est infirme de ses émotions. (Marc Levy)
Ô bruit doux de la pluie par terre et sur les toits! Pour un coeur qui s’ennuie..Ô le chant de la pluie! (Verlaine)
La nuit la plus sombre a toujours une fin lumineuse. (poète persan)
Je ne tombais pas amoureuse parce qu’il était séduisant, plein de fric ou puissant,
mais parce qu’il me regardait… s’il me regarde, c’est que je vaux quelque chose.
S’il me regarde, je déplacerait des montagne pour lui…
(katherine Pancol)
« On se trompe en imaginant que le malheur fait des exceptions: si longtemps que dure son bonheur,
tout homme aura néanmoins sa part de malheur un jour.
On le croit écarté, il n’est que remis. » (Sénèque)
Certaines épreuves nous paraissent insurmontables et certains chagrins inconsolables.
S’imagine-t-on survivre à la perte d’un être cher?
Comment retrouver le goût à la vie quand celui ou celle que l’on aime nous a quitté (e)?
Est-il possible de surmonter les ravages d’une passion?
Ou d’endurer la maladie ou la déchéance,la sienne ou celle d’un proche?
Pour supporter le malheur, il faut l’avoir anticiper nous disent en substance les philosophes.
C’est en effet dans le bonheur que se prépare le malheur, tout comme c’est en été que l’on fait provision pour l’hiver.
Il faut donc se préparer au malheur, non pour l’attirer à soi mais pour l’envisager comme quelque chose de possible et avec lequel il faudra faire le cas échéant.
c’est en jouissant du bonheur présent que l’on prend, si l’on peut dire, des forces pour affronter les épreuves.
Le malheur qui peut frapper un individu peut frapper n’importe qui, rappelle Sénèque.
Manière de souligner que le malheur d’autrui est aussi un enseignement.
En soutenant ou en aidant des proches dans la peine, c’est soi-même que l’on aide à préparer un éventuel coup du sort.
On sait bien que les malheurs nous grandissent, même si ce genre de phrase paraît incongru lorsqu’on est plongé dans le désarroi et la peine. Pourtant il ne faut pas sous-estimer nos capacités à endurer les épreuves.
« Il n’est pas d’arbre que le vent n’ait secoué » disent les indiens.
Enfin malgré le malheur, il faut garder confiance. Confiance dans la vie, confiance dans les lendemains qui chantent et dans le renouveau.
Jean Giono a dit: »Les jours sont des fruits et notre rôle est de les manger. »