belle création.
« L’avenir nous tourmente, le passé nous retient, c’est pour ça que le présent nous échappe
« L’avenir nous tourmente, le passé nous retient, c’est pour ça que le présent nous échappe
« aujourd’hui, il serait bon de faire quelque chose qui sorte de l’ordinaire.
Nous pourrions, par exemple, danser dans la rue en partant au travail,
regarder un inconnu droit dans les yeux et parler d’amour au premier coup d’oeil,
suggérer à notre patron une idée apparemment ridicule mais à laquelle nous croyons,
acheter un instrument dont nous avons toujours voulu jouer sans jamais oser.
Les guerriers de la lumière s’autorisent des journées de ce genre.
Aujourd’hui, nous pouvons verser des larmes pour quelques injustices
qui nous sont restées en travers de la gorge.
Nous allons téléphoner à quelqu’un à qui nous avons juré de ne plus jamais parler.
Cette journée doit se démarquer du scénario de nous chaque matin.
Aujourd’hui, toutes les fautes seront permises et pardonnées.
Aujourd’hui et un jour à profiter de la vie.
(Paulo Coelho)
qu’est-ce donc la vie humaine sinon un collier de blessures que l’on passe autour du cou?
(Philippe Claudel)
L’amour est cette ombre qui ne vous quitte jamais.
Vivre ce lien comme si l’autre était l’ombre vivante de soi et soi l’ombre vivante de l’autre.
(Hafid Aggoune)
dans l’ oeuvre: l’homme qui rit de Victor Hugo.
« Aie des mioches, torche-les, mouche-les, couche-les, barbouille-les,
que tout cela grouille autour de toi;
s’ils rient, c’est bien; s’ils gueulent, c’est mieux; crier, c’est vivre;
regarde-les téter à six mois, ramper à un an, marcher à deux ans, grandir à quinze ans, aimer à vingt ans:
Qui a ces joies, a tout;
moi, j’ai manqué cela, c’est ce qui fait que je suis une brute. »