le temps qui passe inexorablement.
Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre,
il faut vous enivrer sans cesse.
Mais de quoi? ..
de vin, de poésie ou de vertu, à votre guise.
Mais enivrez- vous.
(Charles Beaudelaire.
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