texte de George Sand.
« Une main froide me gêne, une main humide me répugne, une pression saccadée m’irrite,
une main qui ne prend que du bout des doigts me fait peur;
mais une main souple et chaude qui sait presser la mienne bien fort sans la blesser,
et qui ne craint pas de livrer à une main virile le contact de sa paume entière,
m’inspire une confiance et même une sympathie subite.
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