pauvres maisons abandonnées.
Tout au bout du sentier qui lentement s’égare
Parmi les herbes folles et les ronces sauvages,
On atteint atteint un endroit perdu dans les nuages
où une vieille maison s’offre à nos regards.
……………….
Au milieu d’un jardin envahi de chardons,
Elle se dresse, fière et bravant les saisons.
Un vieux portail grince, épuisé par les ans
Ouvrant un chemin vers cette maison d’antan.
…………….
Le vent marin a soulevé sa chevelure exquise,
ses tuiles vieillies et moussues par les ans,
Ses volets battent le tambour sur les pierres grises
La pluie a rongé sa faîtière et troué ses auvents.
………………
Pourtant elle vibre encore d’une vie lointaine
De celle du temps où toutes les semaines
Elle résonnait des rires et des jeux d’enfants.
Si vous tendez l’oreille, vous entendrez leurs chants.
……………..
Plus personne ne vient, juste les hirondelles
Qui, le printemps venu,rejoignent ici leurs nids
Réveillée alors par leurs battements d’ailes
Elle retrouve pour un temps une nouvelle vie.
(pris sur le net)
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