Tout prête à pleurer si on ose;
le bonheur autant que le malheur;
l’union et la rupture;
l’amour et le désamour.
Les larmes sont notre lot.
La finitude de toute chose ,
on ne s’y fait jamais.
(Alice Ferney)
Tout prête à pleurer si on ose;
le bonheur autant que le malheur;
l’union et la rupture;
l’amour et le désamour.
Les larmes sont notre lot.
La finitude de toute chose ,
on ne s’y fait jamais.
(Alice Ferney)
Une relation ne pourra jamais avancer, si chacun attend de l’autre qu’il fasse le premier pas..
Je suis assis ici,
seul si triste et solitaire.
Je pense à toi souvent, chaque minute du jour,
Me demandant comment tu vas, ce que tu fais,
souhaitant te serrer dans mes bras.
Je suis assis,
me souvenant de tout ce que nous avons partagé,
Rêvant à tout ce qui sera,
et je verse une larme pour chaque minute sans toi.
Parfois, je crois en ma force et que le temps qui nous sépare s’écoulera vite,
et puis parfois, je m’assieds et pleure
et me demande pourquoi faut-il que l’amour fasse aussi mal….
Bien que parfois dans la solitude…
quelque part dans le vide, je me sens encore aimé,
et je réalise que ce n’est pas l’amour qui fait si mal…
c’est d’être sans toi.
La vertu est légère comme un poil, mais rares sont ceux qui peuvent la soulever.