départ.
Emportée par une vague de mélancolie évanescente, elle comprend qu’elle est déjà en train de se fabriquer des souvenirs qu’elle portera en elle pendant longtemps.
Elle sait qu’elle n’oubliera jamais rien de lui, ni la forme de ses mains, ni le goût de sa peau, ni l’intensité de son regard.
(Guillaume Musso)