de Henri-JEANSON/:
le coeur sur la main quand il le faut….et la main sur la figure quand c’est nécessaire.
de Henri-JEANSON/:
le coeur sur la main quand il le faut….et la main sur la figure quand c’est nécessaire.
Être patiente; sympathique;bienveillante; épier la fleur qui naît et le coeur qui s’ouvre, toujours espérer, toujours aimer, c’est là le devoir. (henri-frédéric Amiel)
l’exécution dans la peinture, doit toujours tenir de l’improvisation. (Eugène Lacroix)
Soudain, elle surgit venue des profondeurs,
sa valeur est inestimable, tant elle est vraie.
Plus riche qu’un trésor, elle perle au gré du moment, scintillante de vérité et pourtant si
indéchiffrable qu’aucun n’eut pensé de la
comprendre.
Merveille qu’elle est, elle s’écoule vivement
pour laisser fuir une autre qui la suit.
Remplie de joie ou de mélancolie,
seule la personne qui la laisse filer peut la comprendre car elle crie dans le silence…!
Un amour sans patience; est un amour qui ne peut être éternel. (Jenny Auguste)
La coccinelle.
Le doigt est un endroit habituel pour une coccinelle,
puis le bras, l’épaule, le cou, tandis qu’elle s’enhardit,
elle va se promener sur le corps entier de la belle,
vagabondant tant qu’elle n’y rencontre aucun habit.
Avec sa carapace d’un rouge brillant, elle semble un bijou,
ou un grain de beauté de haute couture,
qui se promènerait, du bout du doigt jusqu’à la joue:
la minuscule fouineuse aime les grandes aventures.
Qui la voudrait blesser à la voir si confiante?
elle se déplace sans peur et sans la moindre hâte,
abordant chaque difficulté avec une ardeur vaillante,
jouant des obstacles en parfaite acrobate.
Coccinelle , demoiselle, bête à bon Dieu,
intercède pour nous auprès du créateur,
pour qu’il nous accorde un ciel radieux,
et pour toi les plus sucrées des fleurs.
(Frédéric Gosset)