prov. russe: qui a peur des loups ne va pas loin.
prov. belge:Il faut hurler avec les loups et aboyer avec les chiens.
prov. espagnol: Âne de plusieurs maîtresses, est mangé par les loups.
prov. russe: qui a peur des loups ne va pas loin.
prov. belge:Il faut hurler avec les loups et aboyer avec les chiens.
prov. espagnol: Âne de plusieurs maîtresses, est mangé par les loups.
Si tout ce qu’on cherche est un reflet de soi-même; alors honnêtement on peut toujours trouver un miroir.(Robert Harris)
C’est en chacun d’entre nous,que s’épanouit un arc en ciel; il s’agit de ne pas le laisser pâlir, surtout de ne pas le semer de larmes…un sourire augmentera davantage son éclat.
L’arbre et l’enfant.
Un jour que je promenais au fond de la forêt,
j’ai rencontré un vieux sapin qui avait un très gros chagrin.
Il avait l’air si malheureux ,
moi j’en avais les larmes aux yeux.
Je suis allé le consoler
et c’est alors qu’il m’a parlé.
Tu sais petit, j’aimais la vie,
mais aujourd’hui tout est fini,
le monde a perdu la raison,
la pluie est devenue poison.
Va voir les hommes dans les usines,
dis leur d’arrêter les machines,
dis leur qu’il reste un peu d’espoir
dis leur avant qu’il ne soit trop tard.
Et maintenant faut qu’on se quitte.
allez! va vite petit, va vite,
Alors j’ai couru comme un fou
et j’ai crié:arrêtez tout!
Arrêtez tout! vous êtes en train de tout détruire!
Demain , c’est la forêt qui va mourir!
Mais ils ne m’ont pas écouté alors j’ai pleuré…
Je n’irai plus dans la forêt,
je n’irai plus, non, plus jamais!
tout est fini, car ce matin
j’ai vu tomber mon vieux sapin…
(J-J. Egli du groupe Sweet People)
danser c’est vivre une autre vie.
la musique et la danse sont deux arts qui ont une étroite liaison. (Jean Baptiste Poquelin dit Molière)
L’amour ; c’est l’âme qui ne meurt pas, qui va croissant , montant comme la flamme.
(Eugénie de Guerin)
Devant la flamme,dés qu’on rêve, ce que l’on perçoit n’est rien au regard de ce qu’on imagine.; (Gaston Bachelard)
un vrai plaisir pour les pupilles.
Celle que j’aimais si rieuse a t’elle gardé sa gaieté?
De l’avenir , plus soucieuse, m’a t’elle une fois regretté?
Rapide comme l’hirondelle cette nuit je voudrais aller,
aller lui dire que loin d’elle, mon coeur ne peut se consoler.
Si tu la vois seule et pensive, s’égarer à l’ombre des bois,
ou courir le long de la rive, qui nous vit rêver tant de fois,
dis lui que malgré les années son nom ne s’est point effacé
de mon coeur où se sont fanées toutes les roses du passé.
Idées sur idées, images sur images, mots sur mots, l’esprit fonctionne comme un moulin, où repasse sans être reconnu le grain déjà broyé.
(Paul Gadenne)