belle image.
Il y a des personnes qui marquent nos vies; même si cela ne dure qu’un moment,
et nous ne sommes plus les mêmes.
Le temps n’a pas d’importance mais certains moments en ont pour toujours.
(Fern Bork)
Il y a des personnes qui marquent nos vies; même si cela ne dure qu’un moment,
et nous ne sommes plus les mêmes.
Le temps n’a pas d’importance mais certains moments en ont pour toujours.
(Fern Bork)
ce n’est pas l’apparence qui fait la beauté d’une femme; c’est son rayonnement.(David Safer)
Je suis assise ici, si triste et solitaire.
je pense à toi souvent,
Chaque minute du jour,
me demandant comment tu vas,
ce que tu fais,
souhaitant te serrer dans mes bras.
Je suis assise,
me souvenant de tout ce que nous avons partagé,
rêvant à tout ce qui sera,
et je verse une larme pour chaque minute sans toi.
Parfois je crois en ma force
et que le temps qui nous sépare s’écoulera vite,
et puis parfois,
je m’assieds et pleure et me demande
pourquoi faut-il que l’amour fasse ainsi mal…
Bien que parfois dans la solitude,
quelque part dans le vide
je me sens pourtant encore aimée,
et je réalise que ce n’est pas l’amour qui fait mal…
C’est d’être sans toi.
(pris sur le net)
Devenir musicien, c’est sans doute chercher à mettre la main sur les sons; à éduquer leur violence; à apaiser la vieille souffrance.
(Pascal Quignar)
Lorsque la femme joue la sensualité ou la provocation; elle sait le faire! !…il y en a pour tous les goûts.
la vie c’est comme la bicyclette; il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre.
(Albert Einstein)
de Marcel Proust.: Le moi profond reste le meilleur des masques antirides.
Le coeur est comme la mer. C’est dans les profondeurs que l’on découvre ses plus grandes richesses.
On ne se débarrasse pas d’une habitude en la flanquant par la fenêtre. IL faut lui faire descendre l’escalier marche par marche.
(Mark Twain)
l’amitié: bateau suffisamment grand pour transporter deux personnes quand il fait beau; mais une seule en cas de mauvais temps.
(Ambroise Bierce)
ce qu’on rencontre dans la vie, est la destinée. La façon dont on la rencontre, est l’effort personnel. (Sathya Sar Baba)
une vraie rencontre; une rencontre décisive c’est quelque chose qui ressemble au destin. (Tahar Ben Jelloun)
e suis un simple pierrot qui aime une colombine;
Je suis un simple lunaire qui n’aime d’éphémère.
Voici mon chant ma douce, écoute cette comptine
Elle est pour toi que je rêve ; pour toi que j’espère.
Quand tu souris mon cœur sourit: Je suis heureux,
Car mon cœur de toi, colombine, est tombé amoureux.
Parce que je ne vis mes rêves que dans l’irréel
Car mes rêves sont si vrai; si beaux, si réel.
Parce que je vis mon amour à travers mes songes,
Car ma vie est une longue tresse de mensonge.
Quand tu souris mon cœur sourit: Je suis heureux,
Car mon cœur de toi, colombine, est tombé amoureux.
Parce que je suis un éternel pierrot lunaire
Car cette lune est la plus douce des aires.
Parce que je vogue dans mes délires et prie
Pour que ceux-ci deviennent vrai; prennent vie.
Quand tu souris mon cœur sourit: Je suis heureux,
Car mon cœur de toi, colombine, est tombé amoureux.
Parce que j’ai toujours peur de ce qui pourrait être
Et que je n’arrive pas à voir ni à vivre ce qui est,
Parce que je n’ose pas te parler pour dire qu’être
Près de toi c’est le plus sincère de mes souhaits.
Quand tu souris mon cœur sourit: Je suis heureux,
Car mon cœur de toi, colombine, est tombé amoureux.
Parce que je suis, ma colombine, un maudit, un rêveur
Je n’ai pas su te dire comme mon amour est sincère.
Comme il me fait mal aujourd’hui et l’a fait hier;
Comme tu me feras mal demain et comme j’ai peur.
Mais…
Quand tu souris mon cœur sourit: Je suis heureux,
Car mon cœur de toi, colombine, est tombé amoureux.
Dit, colombine, que peut faire un pierrot,
Qui sans cesse à peur d’entendre les mots,
Que pourrait lui dire la belle lunaire
qui retournerait seul vivre sur terre.?
en attendant
quand tu souris, je suis heureux
car mon coeur de toi colombine est tombé amoureux.
les autos ont remplacé les fiacres et les camions les charrettes à foin.
Mais aucune invention n’a remplacé l’homme lui-même;
(André Duval)