dubitative..
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22 janvier, 2013
belle image.
il faut savoir regarder la mer…c’est un miroir qui ne sait pas mentir. (Loîc Dauvillier)
faire vivre les poupées de porcelaine.
(Christine reine de Suède)
On est enfant toute sa vie, et l’on ne fait que changer d’amusements et de poupées.
sabliers compteurs du temps qui passe.
les sabliers ne servent pas seulement à nous rappeler la fuite du temps; ils évoquent également la poussière que nous deviendrons un jour. (Georg Christophe Lichtenberg)
Révolution: c’est retourner le sablier. (Jean Dubuffet)
les Dieux et les fées se trompent aussi… prov.chinois.
La bonne grâce est le vrai don des fées ; Sans elle on ne peut rien, avec elle on peut tout.
[ Charles Perrault
21 janvier, 2013
joie!
il y a un peu d’envie lorsqu’on rencontre des êtres qui éclatent de joie;
mais très vite, ce sentiment est remplacé par le désir de participer à cette liesse.
(Jean Castaldi)
nue devant miroir.
celui qui ne porte sa moralité que comme son meilleur vêtement ferait mieux d’être nu. (Khalil Gibran)
l’indécent n’est pas le nu;mais le troussé. (Denis Diderot)
Un miroir est une surface polie, faite pour réfléchir, mais parfoisbien impolie quand elle vous fait réfléchir. »
de Gérard de Rohan Chabot
texte de Paolo Farder.
la paix! la paix!
qu’est ce qu’on en a rêvé!
malheureusement la guerre a commencé.
Pour tous ces gens qui vont peut-être mourir, nous avons un grand chagrin et aucun plaisir.
PAS DE GUERRE!
que la paix. !
Ce sont les gens qui ont décidé.
Un monde en paix nous le voulons, pour le créer nous combattons.
Nous ne voulons pas la faire cette maudite guerre..
hommage à la Femme .
Beauté des femmes…
Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles
Qui font souvent le bien et peuvent tout le mal,
Et ces yeux, où plus rien ne reste d’animal
Que juste assez pour dire : « assez » aux fureurs mâles !
Et toujours, maternelle endormeuse des râles,
Même quand elle ment, cette voix ! Matinal
Appel, ou chant bien doux à vêpre, ou frais signal,
Ou beau sanglot qui va mourir au pli des châles !…
Hommes durs ! Vie atroce et laide d’ici-bas !
Ah ! que du moins, loin des baisers et des combats,
Quelque chose demeure un peu sur la montagne,
Quelque chose du cœur enfantin et subtil,
Bonté, respect ! Car qu’est-ce qui nous accompagne,
Et vraiment, quand la mort viendra, que reste-t-il ?
Paul Verlaine, Sagesse (1881)
attendre
la vie du coeur tient entre ces deux moments…attendre..se souvenir. (Lucien Arréat)
