C MINANA

11 janvier, 2013

belle philosophie de la vie.

Classé sous textes — daisy13 @ 13:15

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Se réveiller tôt pour voir le soleil se lever.

Préparer un repas avec des amis: parler, rire, goûter.

Repenser à tous ceux qui nous ont aidé, ou aimé,

Se réjouir de les avoir rencontrés.

Avoir pour eux une tendre pensée.

Eteindre en soi une tristesse, une inquiétude ou une colère

Qui n’auraient servi à rien.

Regarder passer les nuages un jour de ciel changeant

Se sentir guérir après un mauvais moment,

Revivre après un chagrin

Se souvenir des belles choses de notre vie.

S’enivrer de l’odeur de l’herbe fraîchement coupée, du chant des oiseaux.

Prendre conscience des chances que l’on oublie

Parce qu’elles sont là tous les jours :

Democratie et douche chaude… Et tout le reste.

Respirer, s’étirer, se relaxer.

S’arrêter de « faire»

Et, simplement, se sentir exister,

S’apercevoir qu’on est vivant

S’allonger dehors, la nuit dans une couverture,

Regarder les étoiles.

Se coucher tard

Et écouter les sons du silence en pleine nuit.

Sauter un repas, et attendre d’avoir faim…

Savourer alors chaque bouchée, lentement, en pleine conscience.

Marcher au milieu des feuilles mortes,

En sachant que tout reviendra.

Marcher, rien que pour marcher.

Ne rouler rien que pour rouler.

En forêt, montagne, en ville, au bord de mer.

Sentir que l’on fait partie du monde

Se nourrir des beautés léguées par les hommes du passé :

Monuments, outils ou œuvres d’art…

Plaisir de rendre hommage à celles et ceux qui ont fait la beauté du monde

Prendre un bain, s’offrir une séance de massage :

Soupirer, sourire et s’abandonner complètement.

Donner du plaisir aux autres :

Sourire, parole, geste tendre ou amical, faire l’amour…

Aller sous la pluie, bien protégé.

Odeurs différentes, lumières différentes…

Et éprouver le plaisir du retour

Rentrer et se réchauffer après avoir marché dans le froid, feu de bois,

Tasse de thé brûlant que l’on serre bien fort entre nos mains.

Regarder ce que l’on ne regarde jamais :

Les insectes vivant leur vie,

Le spectacle de la rue en s’asseyant sur un banc public…

Sourire.

Quand on est triste. Quand on s’est trompé.

Quand on est inquiet.

Comme on sourirait à quelqu’un qui a des soucis,

Qu’on aime et que l’on veut rassurer

 (auteur inconnu) pris sur le net.

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