balançoire bien fleurie.
Auguste Strindberg a dit:
Oui, mes enfants, la vie est comme une balançoire: on se trouve en haut, on regarde autour de soi avec arrogance, et puis on se retrouve en bas, on remonte, etc….
Auguste Strindberg a dit:
Oui, mes enfants, la vie est comme une balançoire: on se trouve en haut, on regarde autour de soi avec arrogance, et puis on se retrouve en bas, on remonte, etc….
Nul n’est comblé. Il y a toujours un besoin quelque part, un oubli, un manque lancinant.
On a beau se répéter que tout va bien, que tout est au mieux, ce n’est pas vrai.
On a obligatoirement besoin de quelque chose, ou de quelqu’un.
On implore un regard, un mot, un signe, et souvent nos prières les plus ferventes s’avèrent irrecevables.
Pourquoi ?
Parce que c’est ainsi.
Inutile de chercher la faille ; la faille est en chacun de nous, elle est toutes ces questions que l’on se pose et qui ne nous avancent à rien.
(Yasmina Khadra)
on s’y croirait dans ces merveilleux endroits , ce ne sont pas des photos, mais des peintures d’Anne Kostenko
le langage des yeux.. quel doux dialogue ; quelle merveilleuse cascade d’idées dites dans le silence. (Serge Coté)