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24 octobre, 2012
rêver.
Entraîne-toi à penser dans deux mondes à la fois,
de deux manières différentes.
Dis-toi que, la nuit,
le dormeur observe ses rêves,
mais qu’une fois réveillé
ce sont ses rêves qui l’observent, le suivent
et se mêlent à sa vie.
Essaie de modifier ta perception
et tu verras le monde avec des yeux magiques.
Celui qui rêve ne dort pas.
Il voyage.
( Sagesse Amérindienne )
bon moment.
Profitez du moment présent de votre vie,
Car ce moment ne reviendra pas.
L’avenir peut être meilleur ou pis,
Mais maintenant vous êtes là.
Voyez où vous êtes dans le cours de l’existence,
Par rapport à l’avenir au passé
Puis chaque instant, pleinement,
Au jour le jour vivez.
Regardez ce qui se passe ici
Écoutez les sons du moment.
Respirez le parfum de la vie
Et buvez-en l’enchantement.
Faites-le maintenant,
Pas plus tard, pas demain,
Car ce précieux instant
Jamais ne revient
‘Blacjak)
partage.
feuilles d’automne.
Il pleut des feuilles jaunes
Il pleut des feuilles rouges.
L’été va s’endormir
et l’hiver va venir sur la pointe de ses souliers gelés.
(Anne-Marie Chapouton)
l’étoile .
beauté de la nature.
l’enfance.
L’enfance. Cette heureuse et brève période de l’existence où l’on a tout juste assez de conscience pour savourer la joie d’être et d’inconscience pour ignorer les difficultés de la vie.
(André Duval)
Pourquoi Dieu met-il donc le meilleur de la vie
Tout au commencement?
( VictorHugo)
Pourquoi Dieu met-il donc le meilleur de la vie
Tout au commencement?
Hugo
ne rien faire.
Thophile Gauthier
Quand je n’ai rien à faire, et qu’à peine un nuage
Dans les champs bleus du ciel, flocon de laine, nage,
J’aime à m’écouter vivre, et, libre de soucis,
Loin des chemins poudreux, à demeurer assis
Sur un moelleux tapis de fougère et de mousse,
Au bord des bois touffus où la chaleur s’émousse.
Là, pour tuer le temps, j’observe la fourmi
Qui, pensant au retour de l’hiver ennemi,
Pour son grenier dérobe un grain d’orge à la gerbe,
Le puceron qui grimpe et se pend au brin d’herbe,
La chenille traînant ses anneaux veloutés,
La limace baveuse aux sillons argentés,
Et le frais papillon qui de fleurs en fleurs vole.
Ensuite je regarde, amusement frivole,
La lumière brisant dans chacun de mes cils,
Palissade opposée à ses rayons subtils,
Les sept couleurs du prisme, ou le duvet qui flotte
En l’air, comme sur l’onde un vaisseau sans pilote ;
Et lorsque je suis las je me laisse endormir,
Au murmure de l’eau qu’un caillou fait gémir,
Ou j’écoute chanter près de moi la fauvette,
Et là-haut dans l’azur gazouiller l’alouette.