Toutes les femmes sont belles,
Certaines le sont plus,
Certaines le sont moins.
Mais c’est la féminité présente
En chacune d’elles
Qui fait qu’elles sont si spéciales.
(Philippe Forget)
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22 octobre, 2012
les femmes.
couple.
pour chacun une bouche deux yeux
deux mains deux jambes.
Rien ne ressemble plus à un homme
qu’un autre homme
Alors,
entre la bouche qui blesse
et la bouche qui console.
Entre les yeux qui condamnent
et les yeux qui éclairent.
Entre les mains qui donnent
et les mains qui dépouillent.
Entre le pas sans trace
et les pas qui nous guident.
Où est la différence
la mystérieuse différence ?
pris sur le net.
La chance…
Elle ne tombe jamais du ciel . . .
Et pourtant elle est là . . . Tout près de toi
Quand bien même la pluie, et le vent, et le noir
S’acharneraient contre toi . . .
Quand bien même le travail, les amis, la famille,
L’argent s’enfuiraient loin de toi . . .
Au fond du gouffre
Ta chance est toujours là . . . Tout près de toi !
Il te suffit de relever la tête
Il te suffit de bien vouloir te battre
Il te suffit de savoir qu’au creux de la vague
Tu ne peux que remonter . . .
Tout près de toi… Ta chance est là !
A toi de décider de balayer les nuages.
A toi de décider te tourner la page.
A toi de croire enfin en ton étoile.
Alors Madame la chance te donnera des ailes.
Et tu pourras dire qu’avec un peu ou beaucoup de chance.
Tu vas gagner . . .
voyance.
On passe notre vie à s’inquiéter de l’avenir, à faire des projets pour l’avenir, à essayer de prédire l’avenir,
comme si savoir à l’avance pouvait amortir le choc mais l’avenir change constamment.
L’avenir est le lieu de nos plus grandes peurs et de nos espoirs les plus fous
mais une chose est sûre . . .
quand finalement il se dévoile, l’avenir n’est jamais comme on l’avait imaginé.
(Grey’s Anatomy)
pris sur le net;
Dans un monde spécial, il y a la terre spéciale aussi . . .
Celui ou les fées se baladent autour de nous…
Silencieuse et discrète . . .
Sur ma terre spéciale, il y a aussi plusieurs chemins . . .
Ou ces multitudes de fées nous chantent l’amour et le pardon . . .
Quand vous suivez leurs routes, vous ne ressentez pas la colère,
la haine, la trahison et aussi l’abandon . . .
Il y a aussi l’eau, cette eau si pure qui nous rafraîchit ,
Ou toutes ces fées nous font naviguer librement . . .
L’air, cet air que l’on respire chaque jour
Le ou les oiseaux, les anges se baladent au fil du temps . . .
Il y a aussi la lune, lumineuse là où dansent les étoiles,
quand survient la nuit . . . J’aime cette terre de tout mon coeur.
C’est la que résident tous mes amis (es) cette terre rêveuse
et magique dans ma tête, et mon coeur.
Au moment de la quitter, toutes ces petites fées
Me guideront vers l’éternité avec celui que j’ai déjà choisi . . .
Cette terre où nous demeurons est la vie.
pensée.
- C’est quoi la Vie ?
- La Vie, c’est chercher son étoile
Dans le fouillis du ciel. . .
- C’est quoi le Ciel ?
- Le Ciel, c’est ce qu’on ne peut voir
Qu’en fermant les yeux. . .
- C’est quoi les Yeux ?
- Les Yeux, ce sont des forges vives
où s’embrasent les rêves. . .
- C’est quoi les Rêves ?
- Les Rêves. . .
C’est ce qui est important.
(Robert Gélis)
paroles de Mouloudji.
Un jour, tu verras, on se rencontrera,
Quelque part, n’importe où, guidés par le hasard,
Nous nous regarderons et nous nous sourirons,
Et , la main dans la main, par les rues nous irons.
Le temps passe si vite, le soir cachera bien nos coeurs,
Ces deux voleurs qui gardent leur bonheur ;
Puis nous arriverons sur une place grise
Où les pavés seront doux à nos âmes grises.
Il y aura un bal, très pauvre et très banal,
Sous un ciel plein de brume et de mélancolie.
Un aveugle jouera de l’orgu’ de Barbarie
Cet air sera pour nous le plus beau, l’plus joli !
Moi, je t’inviterai, la taille, je prendrai
Nous danserons tranquill’ loin des gens de la ville,
Nous danserons l’amour, les yeux au fond des yeux
Vers une nuit profonde, vers une fin du monde
prendre le temps.
Prends le temps de vivre
Et d’ouvrir les pages d’un livre.
De te raconter des histoires
Devant ton miroir.
Oublie les petites rides
Qui naissent dans les soucis.
Prends le temps d’écouter
Les oiseaux chanter sous la pluie.
Et la brise légère siffloter
Dans les branches des cerisiers.
Prends le temps d’ouvrir ton coeur
Pour oublier les peurs et les rancoeurs.
D’aimer encore dans un sourire
La joie qui se donne dans les rires.
Prends le temps de t’aimer aussi,
Cueille pour toi les petits riens,
Ceux qui font oublier les chagrins
Accepte les bonheurs dans ta vie
Et n’oublie pas de lui dire merci.
(Daphné Mohr)