les vieillards et les oiseaux affrontent chaque année le même problème: passer l’hiver.
la nuit n’est jamais complète, il y a toujours puisque je le dis; puisque je l’affirme, au bout du chagrin une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée.
il y a toujours un rêve qui veille; désir à combler, faim à satisfaire; un coeur généreux, une main tendue, une main ouverte, des yeux attentifs.
une vie: la vie à se partager.
(paul Eluard)
de lao tseu:
rien sur la terre n’est plus flexible et élastique que l’eau. pourtant lorsqu’elle s’attaque à ce qui est solide et ferme, nul ne peut lui résister , car il n’existe aucun moyen de la transformer. c’est pourquoi que le flexible l’emporte sur l’inflexible; l’élastique l’emporte sur la force. chacun sait cela mais personne ne peut faire autrement.
« une pensée vers tout le japon, qui justement souffre «
on a jamais perdu sa journée quand on a contribué pour sa part à faire pénétrer dans une âme humaine un peu de gaité et de lumière.